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Élucubrations
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22 décembre 2013

Les apparences sont trompeuses

Les apparences sont trompeuses

 

Il est vraie que j'ai déjà abordé à plusieurs reprises, différents sujets sur la réalité, la vérité, les médias, la mode, la beauté, etc., mais il est surtout vraie que quatre siècles avant notre ère, Platon avait déjà abordé de manière magistrale le sujet :

 

http://www.philocours.com/cours/cours-platon.html

 

Nous verserions donc de manière récurrente dans le plagiat ? À vraie dire, oui, nous ne pourrions découvrir pas grande chose en matière de philosophie, ou même dans le domaine des sciences sociales ; si nous prenions la peine de lire tant des œuvres qu'il existe dans le domaine des sciences.

 

Ce que l’œil observe est donc une matière que le cerveau utilise dans la conception, dans la fameuse appréhension de la réalité, de manière logique, les faits et choses restent donc inchangés, c'est une sorte de lecture qui font nos sens de l'objet, la chose ou l'être donc nous prendrions tout juste des caractéristiques, des aspects, des impressions pour que notre cerveau construise une image, une copie, qui dès lors existe sous forme d'idée chez nous.

 

Sachant donc que notre conscience ne détienne pas la réalité, mais une idée, une apparence de celle-ci, il me semble impossible de m'aventurer à dire que je connais la réalité, car j'ai tout juste une idée partielle de celle-ci.

 

L'apparence, l'enveloppe, physique d'une personne, à la lumière de ce qui se trouve écrit ici dessous, ne peut pas être donc une vérité, une réalité fiables, mais simplement un aspect fragmentaire.

 

Une personne n'est tout juste un enveloppe de chaire, la peau, la silhouette, une personne vu tout juste ainsi, ne pourrait pas être considérée comment la personne elle-même. D'autant plus qu'elle est observée tel un cliché, à un moment court.

 

Un être, ou un objet, ne peu pas se résumer à l'observation courte de sont enveloppe, de sa peau, de sa silhouette, car voilà que cela est rien d'autre que des apparences, d'une valeur pas vraiment fiable.

 

Nous jugeons une personne par sont aspect physique, pour lui donner un qualificatif de laid ou de beau ; même le mannequin, la femme la plus parfaite, celle que toutes les agences de mode, les magazines peuple s'arracheraient pour présenter et augmenter leur ventes, sans doute avec toutes les qualités intrinsèques indispensables pour la profession. Même en étant défini par extension à l'unanimité comment une femme belle, reste belle qu'un temps, relativement court à l'échelle de l'âge de la terre, par exemple, (nous les humains nous avons un cycle standard de naissance vie et mort) et biologique-ment, physiquement après la mort, nous aurions à quelques différences mineures de près, des ossements tout à fait similaires. Autant qu'à la conception nous étions que du sperme, de composition semblable.

 

La beauté de la peau, reste donc une qualité éphémère, il serait ridicule, puéril à mon sens de se fixer lorsque nous voyons un être humain, en l'espèce, une femme, que dans sont apparence.

 

Par contre de la même manière que l'enveloppe charnel est secondaire, autant est secondaire, certains nombre de ce que nous pourrions ordinairement de-nominer sous le nom générique de défauts, sou posons que nous voulons rédiger ensemble une phrase : " très a l'aise avec les tâches ménagères " Hors la femme idéal, la femme pour qui nous aurions de la vénération, verseau même de l’idolâtrie incommensurable de notre part ; viendrait tenter de modifier cette phrase ; exemple elle la trouve éloigné de sont goût et ses connaissances grammaticales, d'abord elle peu reprocher l'usage du mot aise pour designer l'envie d'une personne de souligner sont envie d'assumer une activité, " ici " les tâches ménagères, avec un tout petit peu d'argumentation nous pouvons lui faire admettre le mot aise, puis elle voudrai, nous prouver sans doute, sont niveau de connaissances grammaticales en demandant de modifier par la suite la phrase, à niveau du mot " avec "  à sont goût trop mal placé dans la phrase, une fois de plus avec des arguments nous pouvons lui faire admettre, le mot, elle finirait pour nous dire que elle préfère la phrase " alaise avec toutes les tâches ménagères " nous pouvons encore intenter de lui faire comprendre qu'il y a un goût de pléonasme dans sa phrase puisque du moment que nous adoptons le pluriel " les tâches " toutes serait un mot superflu. Nous venons là, de connaître, un combat, ou sorte de joute verbal, entre deux êtres, d'un côté moi l’idolâtre, de l'autre côté une déesse, une femme merveilleuse, délicieuse, pour qui nous serions capables de nous agenouiller à leur pieds, et qu'en acceptant une telle échange, nous offre par le son de sa voie, par la beauté de sont regard, par la perfection de ses formes, pendant un moment, la joie, la chance de partager quelques moments. Elle reste par sont opiniâtreté encore plus merveilleuse, encore plus adorée. D'ailleurs lorsque l'on vénère un être, même ses défauts deviennent des qualités.

 

La beauté reste non pas celle d'un moment, non pas celle d'une silhouette, mais la somme de nombreuses, qualités avec aussi des défauts, que lorsque nous aimons, soit deviennent (les défauts) invisibles soit des qualités aussi. l'imperfection alors passe au plan secondaire, puisque nous n'aimons pas l'être que pour sa maîtrise de la grammaire, de la langue, comment nous ne pouvons pas l'idolatrer que pour l'aspect de sa silhouette non plus, c'est une ensemble qu'il faut admettre où qualités et défauts vont ensemble.

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