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Élucubrations
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1 janvier 2008

le souvenir de Martha

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Vers vingt deux heures je vois entrer, plus belle que jamais, Martha en plus toute seul, une belle robe jaune, une grande ceinture du même couleur, le décolleté agressif  composé d'un col très large, le bas disposant de découpés devant et derrière. Des chaussures à talon moyens, en couleur jaune aussi, - voilà – elle a dis – les enfants viennent de s'endormir, c'est pour ça que je suis un peu en retard – puis notre amphitryon répliqué – ne vous inquiété pas nous allions juste commencer à danser -  puis OSWALD  le collègue de classe de mon frère, démarre la musique, tout à coup, sa seule présence m'a laissé de marbre, pas moyen de bouger le moindre muscle, mes mollés tremblants, ma respiration, s'accélérant de plus en plus, mon cœur on direz pouvait se voir par-dessous la chemise, Monsieur ABDIA à poliment sortie à danser Martha, le rhum avec du boisson gazeuse est servi a volonté, à la fin de mon verre et quelques chanson plus tard; je me voie proposer par elle en personne de danser une chanson espagnole, sans doute l'effet du rhum m'apporta le courage, toujours est-t-il que j'ai eu le courage de danser et même d'avantage lui donner des morceaux de mes souvenir d'antan. Elle a sourie dans un signe de femme flatté, j'ai vu son regard s'illuminer, puis sa main sur mon dos me serrer plus fort encore, nous avons dansé plusieurs chansons, en parlant comme de très vieilles connaissances.  Par politesse elle m'imposé de faire sortir les filles de mon âge, - si nous continuos ainsi, tout le monde va nous remarquer et j'ai âge d'être ta mère, en plus marié -  j'ai donc invité une à une les deux filles, à danser de manière alternative, puis d'autres filles d'ailleurs jolies, complètement désinhibé, j'ai osé faire des choses jamais faites en état de sobriété, et pour tant dans d'autres circonstances j'aurais pris des claques, tandis que là, j'avais des sourires sournois, sauf que j'avais un objectif ou cible déjà définie. J'ai dansé par la suite avec plusieurs femmes mariés, je me suis trouvé très alaise pour tant, j'avais de quoi parler avec elles, et même quelques blagues, également très bien reçus. Par politesse? Je ne sais pas, le pouvoir du rhum, fait des miracles, déliant les langues!

Nous avons beaucoup mangé, beaucoup bu, et le temps lui ne se pas arrêté, trois heures du matin, La plus part des convives avaient déjà abandonnait la fête, nous habitions juste en face, Martha, avais d'après moi bu, en tout cas plus que moi, nous nous sommes mise d'accord, je partirais avant, mais pas direction chez moi, son époux étant pas à la maison, elle avait liberté, et nous avons fini pour nous retrouver dans un recoin du voisinage. Discret et pour tant seul pendant la nuit, à condition de pas trop faire du bruit. Au début assez facile, quelques minutes plus tard je craignais à tout moment qu'une fenêtre s'ouvre et d'être ainsi démasques.

Je me suis dis comment Thucydide –  " à La guerre, l'occasion n'attend pas" –  et dans une adaptation de Jean Cocteau : – "nous fûmes victime des pénombres où les sens rencontrent le cœur".

Il me manquait des mains, et une seule boche resta insuffisante face à sa fugue, pour tant mon pantalon n'a jamais descendu vraiment, ma chemise bien que déboutonné, ne m'a pas vraiment quittez,  elle par contre n'avait plus des vêtements intimes qui par sécurité j'ai déposé dans mes poches. Sans doute nous lui avons manqué au temps, mais une fois le tumultueux bouillonnement, et la fugue retombes à un niveau humain, nous avons optée pour reprendre nos esprits et le temps de la raison.

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Commentaires
G
Merci du fond du cœur à toi, Larissa je souhaite que cette sorte de modification soit en accord avec ta sensualité:<br /> <br /> J'ai ainsi dansé avec les deux sœurs d'Oswald, Marie-Sol, une seul dance, trop jeune pour moi, de toutes manières je même pas cherché à la serrer dans mes bras, pas le moindre pas, pour tant assez souvent, j'ai vu les deux sœurs danser par la fenêtre, et très bien, mais du premier instant où j'ai senti son corps tendu, je n'ai même pas cherche à lui glisser un seul mot.<br /> <br /> Luz-Helene, par contre tout suite dans sa manière de disposer son bras droit derrière mon cou et la douceur avec laquelle elle est venu se plaquer contre moi, mon fait sentir a l'aise, sa respiration sur mon épaule, mon nez enfui sur ces cheveux m'enivraient de l'odeur d'une douché d'a peine quelques minutes. Malgré le degré d'ivresse conjugué de rhum et sa beauté, elle reste la petite amie de mon frère. N'empêche qu'elle avait une excellente manière de danser, de l'intelligence et un corps vraiment délicieux. <br /> <br /> Par la suite je me suis précipité sur Eucaristh, une fille d'à peine quatorze ans, avec un corps d'une demoiselle d une vingtaine d années, au moins, sans copain que je sache, habitant juste à coté, avec qui, nous avions eu pas mal de moment de détente et sottises de gosses de 15 ans quoi.<br /> – " J'aurais aimé que tous les jours soit noël" – <br /> – "Pour quoi ça? –<br /> – "pour avoir la chance de t'avoir dans mes bras –<br /> – Arrêtes de boire, –<br /> – Ne crois pas que je dis cela pour rire –<br /> – Je ne le doute pas –<br /> – T'est si bien faite que tant des fois dans mes rêves, en fin t'imagines le reste –<br /> – Non va si raconte-moi –<br /> – Si les draps pouvaient parler, ils te diraient combien de fois nous avons déjà consomme le fruit de l'éden. –<br /> <br /> Elle n'a pas répondu un seul mot, j'ai juste senti son corps se serrer encore plus fort contre moi, je ne pouvais pas voir son regard car son visage reste posé sur mon épaule, alors que le rythme de la musique demandait des pas et des écarts des corps, elle resta tout près de moi, je devais presque supporter tout à coup son poids, et nous corps ne faisaient qu'un, puisque elle laissa mes pieds mener physiquement les siens, je presque oublié que j'avais une cible accroché d'avance. Marthe, qui d'ailleurs ne manque pas de me le rappeler d'un regard malicieux et quelques frottements de son corps au passage en dansant avec d'autres convives. Pour finir un discret coup de coude, m'a fait revenir à la réalité. Du regard Marthe m'imposé de faire sortir l'hôtesse de maison.<br /> <br /> D'ailleurs d'un âge semblable à la sienne, et avec un enfant de plus, sans le moindre démérité vis-à-vis des formes, en la serrant, à l'écrasement du volume de sa poitrine, et l'absence de fermeté de la chair d'Eucaristh, donnez de suite une différence, mais, de toutes manières je pris du plaisir à danser avec madame ABADIA.<br /> <br /> – je tiens à vous remercier sincèrement de l'invitation –<br /> – De toutes manières Oswald, a insisté beaucoup pour que vous veniez –<br /> – J'ai l'impression qu'ils s'entendent très bien au lycée –<br /> – Votre frère, s'entends très bien aussi avec mes deux filles (large sourire) –<br /> – En tout cas je crois que je finirai la soirée chez vous –<br /> – Il n'y pas de raison de partir, nous allons arrêter quand le soleil sortira –<br /> – Vous dansait très bien, vraiment –<br /> – Au fait dans ma jeunesse j'ai beaucoup dansé, mais ça fait des années que nous dansons que pour les fêtes –<br /> – Je n'aurais jamais cru, que des gens de Palmira, allaient être nos voisins –<br /> – Vous voyez, mes quatre enfants sont nés à la clinique centrale de Palmira – <br /> – En tout cas Marie-Hélène est votre portrait craché, très belle vraiment– <br /> – Assez sauvant les gens me disent cela – <br /> <br /> Nous avons dansé une chanson de manière magistrale, une élégante partenaire et excellente danseuse de musique tropicale.<br /> <br /> Avec ma cible, nous reprîmes, là où nous avions coupé. Je ne devrais pas le souligner, mais pour moi c'est un défaut que l'excès de maquillage, bizarrement dans mes bras, malgré la taille des talons, et ma famélique figure, elle me semble plus petite que dans mon imaginaire, l'effet de comparaison, me donné ainsi vu et touché une peau plus détérioré, en lui mordillant le cou, j'ai connu le gout du mélange du maquillage et la sueur disant salée et d'une granulométrie grasse.<br /> – Eucaristh, dit-ont, elle te colle à la peau? –<br /> – Nous parlons assez sauvent, c'est vrai –<br /> – On aurait dit ta petite amie, vu la manière qu'elle t'a accroché –<br /> – A bon, à ce point là, tu crois– <br /> – Ne fait pas l'innocent avec moi, vous avait déjà sortie ensemble – <br /> J'ai eu droit à une crise, qu'a failli me faire décrocher ma cible, pour tant elle était bien présent dans le radar de mon libido.<br /> – je suis désolé, si cela vous a molesté autant, mais entre elle et moi il n'y ait jamais rien eu –<br /> – mais non, je n'ai pas à être jalouse –<br /> Elle a vite, repris, le dessus avec une agilité, presque juvénile, bien que forcé,
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