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Élucubrations
Élucubrations
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22 juillet 2014

Élucubrations, partis poilitiques, syndicats et quidam

Élucubrations, les partis politiques, le lobby, les syndicats, le béotien ou quidam et la conscience sociale.

Joigny 22 juillet 2014

Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ

 

Sorry, because I don’t speak very well in french.

 

Élucubrations

 

L’avenir de l’humanité me semble d’une importance capitale. Certains intérêts locaux, à la taille des nations, des clans, des groupements profitent donc non pas à des concepts universels tels que démocratie, justice, liberté, mais à des nauséabondes, des sournoises et injustes organisations.

 

Les partis politiques

 

Dans un espace à la taille de la terre, la plus part des réussites en matière électorale se résument à la capacité de rhétorique et de mensonge d’un homme, mise en avant par un groupe ou clan pour tromper l’électorat. Si nous regardons un à un les leaders des organisations, des partis, autant que des présidents de grandes organisations et des nations, nous pouvons trouver cette constante.

 

Le lobby

 

Nulle doute que le lobby est une maladie majeur contre la démocratie. Prenons l’exemple  des armes dans un pays de plus de 350 millions d’habitants, un pays qui se veut démocratique mais qui tout de même en 1963 a réussi à tuer le président de la république, le même pays, implique à travers des services secrets, de la mort des grands leaders et présidents dans d’autres pays. Le lobby d’une poignée d’irréductibles qui s’enrichissent du commerce des armes, influence le parlement pour garder la vente libre des armes avec sont lot macabre de morts par centaines chaque jours dans les roues.

 

Le syndicalisme

 

Il faut assumer sans aucune resserve le rôle des groupements de défense des intérêts des travailleurs. Autant sur l’équilibre économique des grandes entreprises dites " publiques " autant dans le progrès indéniable, des pays comment le Brésil, la Bolivie, même si le pouvoir monumentale du système, réussi sans la moindre difficulté à minimiser, dénigrer, voir étouffer devant l’opinion certains faits, qui sont avant tout la preuve de la décadence dus système devenu néo-libérale.

 

Le béotien, le quidam

 

La plus part des gens, non moins de 70 % de la société, vie aliénée de manière forcé, de tout sujet en relations directe avec la gestion des affaires de la cité (de Platon) Le citoyen lambda est prédisposé à une sorte de soumission induite. C’est-à-dire, que par l’éducation, par les médias, comment le souligne si bien une personnalité de la télévision, (Patrick Le Lay) le rôle des médias est celui de prédisposer le cerveau à consommer, sans réfléchir. Cela se passe de tout commentaire, la conscience populaire, se forme non pas par la force du discernement (discours de la méthode de Descartes) mais sur la base des écoutes, de sont environnement et des médias.

 

La conscience de classe

 

Indémodable reste la notion de Jean Jaurès sur la bourgeoise, en tant que classe hégémonique ai pouvoir, prééminence atteinte part un procès long de siècles de possession de la plus part des postes clés dans touts les secteurs. Toujours en suivant Jaurès, une des méthodes majeures pour que les nantis aillent réussi des siècles de contrôle, se résume au constant attaque à la notion de " conscience de classe ". ou simplement faire oublier aux gens modestes, les plus pauvres, la classe majoritaire dans toute société ; que nous sommes en démocratie et du fait " majoritaires " nous devons faire appliquer non pas les intérêts de MINORITÉS trop bien représentés, car le discours des leaders politiques est soigné dans des universités : l’ENA, HEC, SORBONNE, face aux quels, mon discours d’illettré, d’immigré, reste inaudible. Ainsi nous trouvons des pauvres gens, des travailleurs, des syndicaux même qui votent pour la droite, pour des faux partis de gauche, et même pour des partis d’extrême droite, sans jamais chercher à comprendre les mots du docteur en sciences politiques et économie Hermmann Scheer qui disait : " tant que les pauvres gens, ne chercheraient à analyser les causes de leur misère, et chercheraient à se rassembler pour défendre leurs intérêts commun, les sangsues de la finance auraient des longues années devant eux ".

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