Chronique sur le Parti Socialiste
1. Les critiques
2. L'information
3. L'idéologie
1. LES CRITIQUES
Les médiats font écho de nombreuses critiques, sur la présence de trois candidats à la succession du secrétaire national du parti.
D'autre part bon nombre de politiques (sénateurs, parlementaires, etc.) de tous les clivages; s'aventurent à critiquer l'absence d'une personne au dessus de la mêlée.
Même des citoyens issus d'autres courants politiques avancent une opinion en escalade ou concurrence vers la plus mauvaise image du P.S.
Cela me fais croire qu'il y a une sorte de concurrence publicitaire pour celui ou celle qui trouve l'image la plus mauvaise du parti en question.
Certains journalistes et même des spécialistes de la politique pour qui j'ai jusqu'à maintenant un certain respect, entrent en concurrence dans cette escalade.
Que-ce que je dois penser ?
Fondamentalement pour l'image d'un partie que l'on s'attroupe à designer comme décadent, tant d'agitation médiatique me pousse à m'interroger sur la motivation des détracteurs et faux analystes. S'il s'agissait d'une partie en fin de vie, il me semble qu'il aurait moins de publicité! Un parti en fin de vie susciterait moins d'intérêt!
En particulier de la part des personnes issues d'autres courants politiques, personnellement je me tiens à l'écart du quotidien de personnes (des bruit du couloir) avec qui je ne sympathise pas. Sauf, si j'envie de dénigrer, que cela tiens, ma vision du monde et mon éducation m'interdissent un tel comportement surtout quand je n'ai pas des arguments solides et moins encore si la situation ne risque pas de m'affecter dans ma personne, physique et morale.
2. L'INFORMATION
L'information de nous jours reste sous forme très diversifié, au point qu'il est difficile pour le citoyen lambda de faire le tri entre les sources. C'est alors que bon nombre de phénomènes propres à la communication acquièrent une importance capitale.
L'information étant dans sa plus simple expression (pédagogie) un processus de communication, nous avons trois éléments définis par des études (méthodologie) scientifiques qui sont : l'émetteur, le message et le récepteur.
2.1 L'EMETTEUR
Pour analyser un message ces trois éléments sont indispensables; dans les faits lorsque je reçois un message je dois identifier l'émetteur, c'est-à-dire, vérifier, si le message arrive en direct de la source.
Pour quoi?
Un message traité par plusieurs personnes, perd progressivement sa valeur, se transformé et fini par être pollué, maquillait, transfiguré, c'est-à-dire modifié au point de perdre son identité ou sa véracité.
2.2 LE MESSAGE
Un message en soit pour être vrai, doit présenter des caractéristiques, qui le donnent leur authenticité. Quand je ne suis pas l'auteur d'un message, une fois de plus sa valeur est dénaturé voir travestie, par différentes raisons.
Il y a un milieu dans lequel le message est transmis (pédagogie) par exemple j'écris un message, en manuscrit, et l'encre utilisé s'altère avec l'eau, en espèce, le message est pollué, et risque d'être illisible par la suite.
Le milieu (le médiat) est donc un élément intrinsèque au message, des phénomènes divers peuvent altérer le contenu du message, la radio, la télévision, les journaux papier, internet sont des milieux (médiats) qui sont saturés d'obstacles et de sources de pollution pur et simple d'un message. Chaque être humain de par sa conception personnel (personnalité) traite involontairement l'information en faisant un tri, qui peut modifier ou changer le contenu original d'un message.
2.3 LE RECEPTEUR
Nous venons de voir deux éléments (voir trois avec le milieu) le récepteur d'un message doit démoduler (électricité) transformer un message (pédagogie) quand je prends une lettre d'un être proche, je dois la lire et transposer les mots ayant été écrits en idées par la lecture; j'appréhende le message, c'est un procès d'acquisition qui une fois de plus dépend intégralement de la personne qui li. (Les ondes électromagnétiques sont captés par des bobines, condensateurs, potentiomètres pour les transformer en image ou son) certains spécialistes classent le processus en modulation et démodulation
(Pédagogie)
Quand j'écris je module je transforme en phrases écrites mes idées par le biais des signes (lettres, d'un alphabet, ponctuassions, la langue, etc.) en tant qu'émetteur; ensuite le récepteur doit partager avec moi la culture, la langue pour interpréter mon message. Au point que même si le récepteur est très intelligent mais ne partage pas ma culture notamment ma langue, il ne peut pas interpréter ma pensée.
Dans notre sujet, je ne vais pas aller jusqu'à dire que les français soient des citoyens lambda, des quidams tous, mais reste malgré cela le doute de la pollution d'un message.
Je n'ai pas, l'information, je ne maîtrise pas les médiats, mais dans le fonds, je sens que dans la communication sur le P.S. Se trouve un nombre croissant de facteurs qui polluent, qui faussent l'information. Phénomène amplifié à partir de tous les médiats confondus. Ce phénomène se trouve amplifié aussi par des membres à niveau très élevé dans la hiérarchie de ce courant politique.
2.4 Conclusion
Personnellement, pour moi, l'élection d'un secrétaire du parti par la voie démocratique, signifie sans intention de dénigrer plusieurs choses :
L'importance de la démocratie au sein du groupe politique en question, car la désignation est laissait par l'scrutant à la responsabilité des électeurs.
3. Idéologie
La présence et la diversité d'idées, reste la preuve d'une mouvance (la vie), preuve d'activité, le débat d'idées au paroxysme est un signal marquant un courant à l'écart des conciliabules sur le dos des militants.
Nestor Elias Ramirez Jimenez dit gramophone
Joigny mardi 18 novembre 2008