Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Élucubrations

Élucubrations
Publicité
20 octobre 2007

Marché mensonge et libéralisme économique

L'économie se constitue d'un ensemble de facteurs.

Une classification des facteurs intégrant l'économie, permet une vision plus éclairée:

La météorologie, la technologie, la maîtrise (propriété), l'éducation et la politique peuvent résumer les éléments de l'économie.

1.- La météorologie constitue un élément de l'économie.

2.- L'évolution technologique est une composante de l'économie

3.- La maitrise (propriété) des facteurs est un élément constitutif de l'économie.

4.- L'éducation est une partie intégrante de l'économie.

La société dans cette ensemble reste divisée à deux titres; d'une part les consommateurs, d'autre part les partenaires propriétaires du pouvoir.

Influence mutuelle des quatre éléments est aussi interactive avec la société et ses deux composantes. De deux manières fondamentales; la première active et la deuxième passive.

Une influence activée, implique une volonté ou action provocant des modifications sur la résultante.

Une influence passive, implique une modification sur la résultante sans qu'y ai nécessairement connaissance ou volonté de modification.

L'économie actuelle est fondée sur une organisation mondiale, justement l'Organisation Mondiale du Commerce. Née du GENERAL AND AGREEMENT ON TARIFFS AND TRADE, les deux piliers de l'économie étant :

1.- Le multilatéralisme

2.- La disposition pour le consommateur des produits aux prix libres de toute taxe discriminatoire.

Pour la première règle, toute association de personnes avec comment but de favoriser une zone géographique est interdite.

Pour la deuxième règle, toute taxe discriminatoire sur la base de l'origine d'un produite est interdite.

A la vue et sur la base de ses règles, les différentes organisations de nations existantes, sont en contradiction directe du principe.

De la même manière un exemple simple preuve l'infraction: le même véhicule, est vendu avec un prix différent du moment que vous traversé une frontière.

Le marché

Le marché est constitué de quatre éléments : le produit, le vendeur, l'acheteur, et le prix.

Comment fonctionne un marché?

En pratique c'est très difficile de définir le fonctionnement des marchés; tout de même il y des bases d'un marché théoriquement efficace:

1.- Volume important d'offre et demande.

2.- Facilité de comparaison des produits

3.- Ouverture à la concurrence.

Pour que le marché soit équitable, juste et dynamique, le nombre de vendeurs et d'acheteurs doit être grand, et surtout sans présence d'accord pouvant bénéficier un groupe ou su groupe. L'association entre deux ou plusieurs producteurs avec la volonté de s'accorder sur un domaine commerciale étant contraire aux lois du marché. Ainsi deux fabricants du même produit ne doivent pas s'associer pour tirer des avantages de leurs connaissances sur le marché.

Pour pouvoir garantir un prix sur un produit il est indispensable la base de comparaison avec un autre; les caractéristiques qui ont tendance à différencier deux produits à usage commerciale identique éloigne la possibilité de jugement et l'établissement du prix.

Qui conque ayant envie de créer une entreprise ne doit pas trouver le moindre obstacle à sa volonté.

Ces trois bases du libre échange, que nous pouvons appeler mondialisation, ne sont nullement respectes. Quelque fois les nations le plus riches sont les plus mauvais élèves des normes: les USA apportent plus de 40% des finances à l'industrie militaire. Les nations ont toutes tendances à signer des alliances entre pays avec des intérêts commun. Les producteurs de pétrole. Les nations limitrophes.

Des entreprises à taille international, acquièrent des volumes si grand qu'il reste impossible de les concurrencer; les grandes entreprises dans le domaine des médicaments, de la pétrochimie, les grandes surfaces, les assurances, la finance, l'énergie, etc.

La concurrence libre et non faussé, reste une illusion et c'est le consommateur qu'en pâtisse, parce le consommateur reste  le seul à rester isolé, non associé et donc facile à manipuler face à une association de producteurs chaque fois plus organisée.

Publicité
Publicité
22 septembre 2007

REALITE SOCIETE ET CONSCIENCE

LA REALITE ET SES POINTS DE VUE

1.1  Le temps de travail

1.1.1 TECHNOLOGIE

Le progrès est une variable indéniable dans la production.

L'automatisation des modes de production reste la règle, bien sur que le système a la volonté de paupériser les niveux de salaire, pour multiples raisons entre autres maintenir le marché du travail "coût de la main d'ouvre" à des valeurs très bas, cela grâce à des taux de chômage élevé.

Pour quoi augmenter le temps de travail alors que "l'automatisation" impose le contraire.

Indéniablement il faut moins de personnes pour une production plus rentable. Dire le contraire est fallacieux.

1.1.2  La double exploitation de l'ouvrier

Si la population vie plus long temps; la voie politique du patronat veut retarder le départ en retraite (automatiquement augmenter le chômage); sans oublier le coût de la protection sociale, glissé subrepticement à la charge de celui et celle qui donne leur vie entière au travail. Je considère cela comment une double exploitation. Puisqu'à la base l'ouvrier vends sa vie (temps de travail) mais en le faissant il laisse aussi sa santé, Le point de vue du patronat veut qu'il cherche à se libérer des charges de la protection sociale.

Pour ceux et celles qui l'entendraient de cette oreille, je rappel : Pour quoi se donner tant du mal à creer des institutions comment la CPAM parmis d'autres organisations de protection sociale?

Qui doit grantir contre les accident, les maladies professionels, l'invalidité, le décès et la vieillesse ?

Sachant que le tout est lié au travail.  Le bon sens et la logique veut une participation concerté des acteurs (le patronat et les travailleurs)

1.1.3  HYPOCRISIE ET CHOMAGE

Une logique mathématique, à plus de chômage moins de coût de main d'ouvre. C'est de l'hypocrisie de la part du patronat et sont gouvernement, parler de réduction du chômage. Le chômage reste une technique fondamentale de la rentabilité.

1.1.4 LE PROGRES TECHNOLOGIQUE DES FINANCES

Le progrès ne ce limite aux technologies des machines et de la production, il atteint l'univers financier, la rentabilité se développe et plus vite que l'art de produire et transformer la matière. Les artifices du genre "spéculation" trouvent en toute légalité des voies de rentabilité de manière exponentielle par rapport à la production. des marchandises sans la moindre transformation par la magie du commerce des titres gagne ou perd de la valeur en quelques heures ou jours. Encore pire des achats se font sur des produit à l'état de concept et même face à l'incertitude de la météorologie et l'agriculture.

1.2  Meurs et société

La logique veut qu'avec le progrès, le travail devient moins pénible, (d'ailleurs cela reste une des pistes de l'origine du chômage et de la réduction logique du temps de travail), la gourmandise financière ne l'entend pas de cette oreille; les besoins de consommation dans la nouvelle culture en évolution constante nécessitent non pas de la société global mais de "l'individu" manière excellente de régner par la division.

1.2.1  Les sectes et religions

Le rôle des sectes prend de l'ampleur lorsque les religions semblaient vieillassantes.

évidemment que l'être humain reste de par l'histoire et la nature un animal sociale, très attaché à la notion de "MEUTE", où les notions de "LEADER", de "BUT" puis la grande invention de quelques reliigions "la vie étérnelle" font le lien ou vicule permettant de tisser une relation autre qu'économique en apparence, où les plus pervers et perspicaces en profitent pour s'eriger en "guide spirituel"; pouvant disposer par la suite des biens des naïfs et même de leurs vies.

1.2.2 Le terrorisme

Surgie ici comme un chemin alternatif au paragraphe ci-dessus

Aux individus en quête d'un bonheur qui s'éloigne dans leurs vies au quotidien.  Plus qu'un phénomène un symtôme de la misère, dans laquelle le système plongé une proportion croissante de la population. Pour anéantir le terrorisme parmi tant d'autres symptômes, il faut d'abord combattre la misère! pas seulement économique mais culturelle, qui est plus grâve encore. Puisque dans l'ignorance se trouve le peuple comme un vivier à disposition de Dieu ce quelle groupe ideologique.

2  La raison et conscience

La raison prend racine dans ces quelques lignes, dans les faits biologiques, dans le comportement humain, dans les faits divers; l'humain en tant que tel reste un "animal sociale" les techniques et méthodes d'indidualisation, si bien qu'appportant des bénéfices financières; restent d'abord éphémères "mais surtout" très dangereuses pour le devenir de l'humanité.

L'individualisme au quel nous sommes formatés, ne convienne pas à la part inconsciente de chacun.

Il y a d'autres manières de chercher la paix, et même avec soit; Les ouvres de charité, les ONG, etc., les fêtes religieuses pontuelles, où les personnes redeviennent humaines; avec le seul but de "se donner une fausse bonne conscience".

CONCLUSION

Quelque soit la confection religieuse, l'être humain doit rester cela "un humain"; dans le cas contraire, il s'attaque à la raison même de la vie.

L'individualisme privilégie une minorité pyramidale, grand danger pour l'avenir, le but lucratif étant plus important que des principes d'égalité et fraternité indispensables à l'harmonie sur terre et la préservation de l'humanité.

Mes interventions sur les divers forums et sites ont un but; mettre en garde l'intelligence et l'élite bougeoise sur le retour de bâton.

Il ne faut pas oublier si vite les faits divers vers 1789, ou encore la mise en garde d'Etienne de La Boétie, pour ne pas citer d'autres raisons de poids.

Toutes mes excuses pour la piètre qualité de mon texte et sa construction grammaticale. l'espagnol étant ma langue maternelle.

votre serviteur: Gramophone

22 mai 2007

POESIE ET POLITIQUE

deux textes "Des faits et des mots qui font l'histoire" et "France législatives 2007"

mardi 22 mai 2007

France: législatives 2007

Je regarde avec désolation

Se développer une punition

Même en forme de chanson

Leurs grande réalisation

C'est plus que de la prestidigitation

Loin de l'hallucination

C'est plus que de la simulation

Que d'illusionnisme

Aussi chargé que des fleurs le printemps,

Autant que de goutes il y a dans la pluie,

Aussi changeant que le sons les saisons

Il y aura que des regrets pour les électeurs.

Bien après les législatives pour tous les purotins

Quand leurs pitance saura plus insuffisante

Bien après les législatives des salaires de lilliputiens

Quand la victoire saura alors parlante

Bien après les législatives, le visage des gagnants.

DES FAITS ET DES MOTS QUI FONT L'HISTOIRE

Voilà une phrase, voilà un slogan

Voici une thèse, à la Reagan

La faim, image, des immigrants

Voilà l'outrage, quel citoyen

Elles sont belles les phrases

Des jolis mots, des fleurs

Alors que les balles d'en face

Des jolis fleurs, des morts

Elles sont belles les promesses

Oh! La rhétorique, les illusions

Elles sont lourdes les défaites

Oui! Des erreurs, des allusions

Le destin reste identique

Sans changement radicale

Cela affaibli la politique

Une société libérale

C'est juste des mots ranges

Des briques qui font le mur

C'est juste des souvenir classes

Oublies dans le four

Tant des idéaux grilles

Tant des morts au Darfour

Tant de permissions de Gilles

C'est juste des mots ranges

Des briques qui fon le mur

Un ciment fait de conscience

Un sable fait de confiance

Deux murs puis quatre

Pour atteindre la présidence.

Une nation sociale ne fait pas la pluie

Un partie pour un peuple unie

Après tants du temps et vies

Où sont passé nous acquis?

Oui j'aime la poésie, quand elle reflète la vie

Même si elle est belle quand elle parle de la pluie

Oui j'aime les mots quand elle deviennent fusil

Mieux si leurs balles, sont perles de paix

Il ne faut pas rêver, regardons le Chili

Il faut rester digne devant tant de manifestations et des cris

Je vous parle d' Allende à la fin de sa vie

Se montrer indifférent revienne à être un suomis

C'est l'histoire qu'écrit notre avenir

Et le présent une page que nous faisons en fourmis

17 mai 2007

Un mot sur J. B. Say

Pour parler d'un programme d'envergure il faut connaître la société qui doit le supporter

Quel société supporterait un retour en demi teinte au régime soviétique ?

La société française, en majorité à mentalité libérale, si l'on tient compte des derniers comices; n'est nullement prête à supporter un régime du genre.

Le comportement sociale, obéit à une ensemble de conditions; sociales, économiques et culturelles.

Socialement la français se trouve à un niveau très élevé de confort, qui lui permets d'y renoncer sans doute à toute politique sociale et égalitaire.

Du point de vu économique, nous sommes dans l'obligation de considérer l'histoire, car l'splendeur d'un peuple s'acquière page à page, quelque fois par les conquêtes au prix du sang.  Si jadis les combats avaient des armées régulières, de nous jours, le combat est camouflé, subtile, sournois et pour tant plus violent.

Prenons le cas du Royaume Unie, étant une île, avec une population relativement inférieur à tant d'autres nations, du point de vue monétaire nous voyons déjà, nous apercevons son pouvoir; bien que l'industrie ait apporté une grande richesse, les majeurs capitaux du Royaume, se trouvent dans le domaine tertiaire, non loin des assurances; curieusement, l'histoire montre une relation entre la couronne et le commerce maritime depuis des siècles.

Je vous prie de bien vouloir chercher à justifier, par l'analyse, scientifique des origines de la richesse du U.K. par la suite il faut bien admettre que la dextérité des administrateurs réussissent au mieux ou point d'obtenir de la communauté européenne des subventions qu'aucune autre nation reçoit, en plus du privilège de garder leur monnaie.

De la même manière n'importe quel économie national, gagne à être analyse, autant pour l'économie de la France. Sous Napoléon, par exemple, ou toute autre nation disposant de colonies à une période quelconque de l'histoire.

A partir d'un regard sommaire sur l'histoire, nous pouvons non seul comprendre le présent, mais avec un peut de sérieux prospecter l'avenir.

Je me permets donc de citer Fénelon :

"Après tout, la solidité de l'esprit consiste à vouloir s'instruire exactement de la manière dont se font les choses qui sont le fondement de la vie humaine.  Toutes les plus grandes affaires roulent là-dessus."

Puis une idée de J.B. Say dans son catéchisme d'économie politique :

"De quelle manière gagner votre confiance ? Sans exposer des vérités au nom d'une autorité reconnue, il faut transformer des hypothèses en théories; difficile dans quelques paragraphes"

Je diverge du refus de Say, sur la base de la grandeurs des peuples au prix et dépenses d'autrui; bien que sa thèse fait seul allusion aux nations. Car le capital physique dans sa globalité aurait tendance à rester stable, et seul sa concentration se modifie, cette fois non pas à la dimension des nations mais des individus et avec le pouvoir; contre toute idée de démocratie et justice sociale.

8 mai 2007

démagogie et rhétorique quel mélange!

démagogie quand tu couches avec l'ignorance cela nous donne un président Sarkozy pour la France.

Qui nous parle de peine plancher pour les récidivistes, un avocat qui ne connaît pas vraisemblablement le Code Pénal, dans sa partie législative

Paragraphe 1 : Personnes physiques

Article 132-8

   Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni de dix ans d'emprisonnement par la loi, commet un crime, le maximum de la peine de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle est la perpétuité si le maximum fixé par la loi pour ce crime est de vingt ou trente ans. Le maximum de la peine est porté à trente ans de réclusion criminelle ou de détention criminelle si le crime est puni de quinze ans.

Article 132-9

   Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni de dix ans d'emprisonnement par la loi, commet, dans le délai de dix ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, un délit puni de la même peine, le maximum des peines d'emprisonnement et d'amende encourues est doublé.

   Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni de dix ans d'emprisonnement par la loi, commet, dans le délai de cinq ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, un délit puni d'une peine d'emprisonnement d'une durée supérieure à un an et inférieure à dix ans, le maximum des peines d'emprisonnement et d'amende encourues est doublé.

Article 132-10

   Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un délit, commet, dans le délai de cinq ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, soit le même délit, soit un délit qui lui est assimilé au regard des règles de la récidive, le maximum des peines d'emprisonnement et d'amende encourues est doublé.

C'est bien la France le pays où se font le plus de lois au monde, et en conséquence s'appliquent le moins aussi. 

Puis quant au traitement des mineurs entre 16 et 18 ans, d'une il n'y pas de place dans les pénitenciers, de deux le contacte avec des anciens, se traduit par humiliations, violes, et endurcissement de leurs tendances à l'activité criminelle, la prison reste plus une université du crime que des centres de réhabilitations.

Réduction des impôts pour le patronat, après les 15 milliards déjà déduits des prélèvements dans la période de monsieur Jacques Chirac, pour tant sans grands couloir d'embouche comment le rêvait le monde politique au gouvernement.  Puis si le poids des impôts de France saurait si lourd comment expliquer le passage de 33% d'investissement étranger en 1995 a 46.4 % en 2005; chiffres du programme de monsieur Sarkozy, document PDF disponible au site du parti UMP.

Publicité
Publicité
6 mai 2007

Je vous prend au mot

Ce soir dimanche 6 mai 2007, le peuple d'une grande Nation a donne carte blanche une fois de plus au courant politique au pouvoir.

Le candidat gagnant a un mérite fondamental, qui est celui de la rhétorique "grand orateur", je le souhaite du fond du cœur qu'il n'y ai pas de la démagogie tout simplement plus que de la vrai volonté en parlant du volet sociale du programme.

L'emploi

Au sujet de l'emploi; me reste une certitude, quant à sa volonté de libérer les heures supplémentaires.

Il est utopique, illusoire de croire que c'est une mesure applicable sur le volontariat des ouvriers.  Car si le patronat aurait au cœur l'usage d'un comportement équitable vis-à-vis des ouvriers, il n'aurait pas une législation, il n'aurait pas un code du travail, il n'aurait pas des conseils de prudhommes, il n'aurait pas des syndicats, il n'aurait pas besoin des conventions collectives, une législation si diverse et surtout tant modifiée.

Un erreur, car les heures supplémentaires sans charges et sans emploi, sont un coup frontale donné à la création d'emploi.  Car il saurait moins coûteux, plus cher d'emboucher que d'augmenter les heures supplémentaires.

Les engagements

La France, acteur d'une autre mondialisation

L'homme et l'environnement sacrifiés aux intérêts de l'économie et du commerce.

Réciprocité sur la libéralisation des échanges

Entreprises modestes, familles, salariés exposés face à la mondialisation.

Capital étranger dans les entreprises du CAC 40 passé de 33% en 1997 à 46.4% en 2005, à justifier la réduction du bouclier fiscale. Cela a un goût de démagogie parler d'abaisser le bouclier fiscale de 60% à 50% sous excuse de fuite des investisseurs Français du territoire alors que des ignares investisseurs étrangers viennent de plus en plus en France.

Un état respecté, efficace économe de l'argent des contribuables.

La dette externe de la France passe de 1656 euros par habitant en 1980 à 17 000 euros par habitant en 2004, il ne faut pas oublier que le budget de la dernière année de Mitterrand s'élevé à 6 millions d'euros alors que le budget de l'Élysée pour 2006 s'élevé à 32 millions d'euros, il ne faut pas oublier n'on plus que lorsque les partenaires sociaux demandaient l'augmentation du SMIC, le premier ministre de l'époque Raffarin aurait décidé de voter une augmentation de 70% du salaires des ministres. C'est toujours la droite, chose que le peuple semble oublier.

Qu'elle est l'opinion du monde sur l'administration française?  L'unanimité admets, dès organisations financières aux organisation non gouvernementales sont d'accord en affirmer que la France dispose d'un des meilleurs systèmes si non pas le meilleur au monde dans les domaines de la santé par exemple, dans le domaine administratif, les démarches se font de manière ponctuelle.  Il est possible de faire mieux! C'est pas impossible.

L'économie et la France en Europe et dans le monde.

Bien que la France insiste sur la suppression de la dette externe pour nombre des pays du tiers monde, après divers accords depuis le GATT en 1947, Bretton Woods entre autres, avec la création du FMI et la OMC préteur majoritaire vis-à-vis des petits pays, et donc élément clé de intervention financière et malgré tout des pratiques immorales de nombre de gouvernements, où la malversation des capitaux est la règle.

Je trouve à cette mondialisation, deux irrégularités:

D'une part les pays signataires et créditeurs par l'immoralité de ses gouvernants n'en profite pleinement des crédits alloues.

D'autre part les pays sont lourdement pénalisés par l'intervention des mesures imposés par la politique monétaire des créanciers qui s'octroient les juteux bénéfices des intérêts de la dette.

La conséquence directe se traduit par l'accroissement de l'insécurité, la misère et l'exode des peuples, vulgaires immigrants des pays créanciers.

Révolution écologique

Faut-il croire dans le développement écologique avec une croissance créatrice d'emploi, sauf diminution de la TVA sur les produits du domaine écologique et d'économie d'énergie, ainsi qu'un coup de pouce sur la recherche dans le domaine du développement durable. Affaire à suivre!

6 mai 2007

Formes de production et de spéculation

Petite observation des coûts et les manières de capitalisation.

Joigny dimanche 6 mai 2007

La rentabilité et la qualité.

L'expérience est un outil qui permets d'accroitre la qualité du travail; dans cette optique, une personne sur un poste quelque soit, produit nécessairement plus chaque jours qui passe, du fait de la maîtrise qu'acquière la personne avec le temps "développement des automatismes".  D'un point de vue pratique l'accroissement de la production accélère la rentabilité, (et l'usure) avec une réduction de la qualité. D'un point de vue technique, il est possible d'augmenter la quantité et la qualité avec l'augmentation des équipes ou du personnel du contrôle. L'amortissement se faisant sur le volume produit.

Production de la richesse par la transformation ou la spéculation

La seul manière stable de capitaliser, reste une transformation matérielle, indissociable de l'intervention humaine : soit par la transformation des produits soit par leur transport ou leur commercialisation. Par la suite d'autres formes commerciales strictement bases sur des opérations comptables et de crédit, existent dans un marché en développement croissant; marché où la spéculation joue un rôle de premier plan.  Le commerce financier comment toute autre forme de production de par l'exercice et voué au développement; au point de devenir une forme de production de richesses au même titre qu'une ancienne usine.  Cette nouvelle industrie financière, fonctionne sur la base des prévisions quelque fois hasardeuses, sur des domaines toute au plus incertains comment c'est le cas de la météorologie, (des grands groupes multinationaux font le pari sur la production de céréales en quantités énormes, sur la production de biens donc les matières premières à leur tours sont soumises à d'autres lois du hasard et la spéculation qui les écartent d'une loi logique du genre "offre et demande".

Le coût des produits

D'une part il y le risque naturel, d'autre l'alourdissement des coûts cause pour l'élargissement de la chaine intermédiaire, avec le but ultime de faire des bénéfices. Cette partie de gains sur le produit contribue largement à l'enchérissement du produit finale.  C'est alors que la différence entre le prix à la consommation et le prix de production se trouvent proportionnellement éloigné au nombre d'intermédiaires.

Appel à la science de la statistique pour vérification

Particularité criante des prix

Si nous prenons ces deux indices de prix "consommation" et "production" nous pouvons constater que le prix augmente, quelque soit le produit (agricole, industriel) avec une particularité qui est du à la seul loi de l'offre et la demande, le prix à la consommation reste quelque soit le facteur plus stable que le prix de production. 

Dans le domaine des finances, avec l'automatisation et l'annulation des distances par les technologies de pointe, les risques liées à la qualité, changent, voir se réduisent. C'est ainsi que les moyens de production tradition aux, sont délaisses pour adopter des techniques de capitalisation en apparence complètement à l'écart des moyens de production.  Par simple curiosité j'invite le lecteur à comparer les prix du secteur porcin entre 1995 et 2004, vous allez surement trouver un écart tout au plus de vingt points entre 1995 et 2004, avec une courbe régulière. Tandis que le prix à la production, en 1999 par exemple sauré réduit d'au moins vingt points sur celui de 1995, pour diverses raisons, entre autres parce que la technification (génétique, hygiène, alimentaire)augmente la rentabilité, quelque soit le produit analysé, l'amplitude de variation du prix de production entre deux années doit varier du double voir le triple du prix de consommation.  La raison fondamental est le marché financière et quelque fois des facteurs biologiques, épidémies, maladies, mais c'est rare.

5 mai 2007

Quand la beauté des mots travesti la vérité

Quand la beauté des mot travesti la vérité

Les nouvelles théories de sciences économiques

par Wilfred Pareto

Journal de l'économie politique volume 5, 189

Plusieurs critiques d'un travail récemment édité m'ai montré sur certains points qu'ils peuvent être considérées sur des nouvelles théories économiques sans être compris.

Je propose une brève exposition de ces théories. Le présent étude, purement objective. Il n'a pas l'intention de préciser le rôle joué par les divers économistes dans la formulation des nouvelles théories, ni mes tentatives de séparer le travail faite par mes prédécesseurs de ma modeste contribution.

Si je parle en mon nom, c'est pour éviter de placer la responsabilité des erreurs sur d'autres auteurs que j'ai pu avoir présentées dans leurs théories.

En fait, l'art a toujours précédé la science. Quand au cours de l'évolution l'art et la science humains de la connaissance ont dérivé à part, les critiques n'avaient jamais voulu affirmer que la science était productive sans résultats utiles. Des critiques de cette sorte sont en grande partie fondées sur le fait qu'une science n'a pas immédiatement une utilité comme art apparentiez.

Il doit également être dit que l'art ne peu pas se confiner à sa fonction de enseignement ; il doit également démontrer sa puissance persuasive. En conséquence l'art est obligé de se servir de certains dispositifs rhétoriques avec lesquels la science n'a rien à voir. Car le raisonnement le plus persuasif n'est pas toujours le plus sain, il se trouve que la science économique diffère souvent de l'art économique dans les moyens de l'expression utilisés.

La Science considère des moyens d'expression seulement du point de vue de leur puissance de révéler la vérité, tandis que l'art doit principalement considérer leur efficacité en tant que moyens de la persuasion. De cela s'en suit que la science économique n'hésitera pas à employer des mathématiques, la philologie, la physiologie, etc. ; considérant que l'art peut utiliser ces sciences mais avec une ampleur très limitée pour la crainte de l'incompréhension à la majorité de ceux qu'elle s'engage à persuader.

Il n'est pas mon intention en ce moment de considérer la question générale de l'utilité des sciences pures. Au plus il peut être dit à titre d'illustration que toute personne qui croit dans un tutorial de la science de l'astronomie agira prudemment en ne lisant pas d'un livre juste le titre dont les expositions traitant divers sujets. D'une part, s'il a plaisir à lire des travaux sur cette science il serait idiot qu'il cesse à chaque page d'exprimer le souhait que l'auteur avait écrit, un travail plus valable, par exemple, un almanach commercial. Il doit également être complètement compris pour qu'une question puisse légitimement être entièrement ignorée ou complètement mise de côté, mais si on ne le considère pas du tout, elle doit être traitée aussi entièrement que les ressources de la science le permettent.

Il ne peut y avoir aucun doute qui le sens exact et vrai de l'expression célèbre de Tacitus : Pro universis du cultorum ab de numero d'Agri dans l'occupantur de vices, partiuntur inter de dignationem de secundum de Se de mox de quos…. n'a rien à faire avec le bien-être actuel de l'humanité. Un homme d'État ayant à disposition le passage d'une loi affectant la propriété débarquée dans son pays pourrait donc être condamné étaient lui disposé à perdre son temps dans l'essai de découvrir la signification de cette expression.

Toute personne qui pourrait avoir le temps et la curiosité de savoir exactement ce qui avait été le système de la propriété parmi les besoins de nécessité des Allemands a lu les principaux auteurs qui ont étudié cette expression célèbre de Tacitus. Ensuite après avoir appris par le passé la gardent-ils, cependant, il serait très ennuyant d'être interrompu dans l'étude par la remarque d'un intrus à cet effet :

« Vous perdez votre temps. Vous employez trop de latin ; vous faites une erreur en citant le grec tellement souvent, parce que beaucoup ne peuvent pas lire cette langue. Les Allemands antiques et leur système de terre ne sont pas alignés avec moi. »

À cette remarque je peux répondre que si vous n'êtes pas intéressé par la ligne de travail vous feriez mieux de ne pas vous y mêler mais laisser d'autres procéder sans interruption parce qu'ils sont intéressés par le sujet et prendront la peine de l'étudier de manière approfondie pour les mener à la vérité.

Acquérir la richesse peut être plus plaisante que savoir la façon comme elle est distribué. Pour ma part, je suis de l'opinion qu'un certain livre contribuerait plus que tout autre chose à établir le libre échange dans le monde dans son ensemble, je n'hésiterait pas un instant à me donner en cœur et âme à l'étude de ce travail, mettant de côté pendant toute l'étude de la science pure.

Celui disposant de la puissance nécessaire pour découvrir les moyens d'alléger les douleurs des pauvres donc j'aurais fait un contrat bien plus grand que celui qui se contente seulement avec savoir les nombres exacts de pauvres et riches dans la société. Cependant, si n'importe qui souhaitait poursuivre une telle ligne d'étude, il devrait être laissé libre d'employer des moyens peuvent lui permettre de découvrir la loi selon laquelle les revenus changent.

En parlant d'une formule mathématique qui donne une expression approximative de cette loi, professeur Charles Gide dit que « le dernier est doté sans la puissance, d'intimider ou de décourager n'importe qui de ceux qui aspirent à une plus grande égalité des conditions sociales ; » qui est équivalent à dire que les études astronomiques n'auront pas la puissance « des » amoureux de intimidation ou de découragement dans le choix de tenir leurs propres premiers rôles. L'investigateur qui est à la recherche de la loi de la distribution de la richesse ne vise pas à encourager ou dissuader n'importe qui ; il est simplement attentif pour découvrir la vérité. Ceci n'implique pas que quelques questions ne sont pas de plus grande importance d'une vue strictement scientifique que d'autres. Ainsi la mécanique nous permet les moyens d'étudier les mouvements des corps célestes qui s'attirent selon une loi donnée, mais il est évident que dans cette étude particulière une attention portera sur les mouvements qui ont lieu pour autant que les corps sont sujets à l'attraction en vertu de cette loi et qu'en aucune moment ne sera perdue dans l'étude approfondie d'autres lois qui n'ont rien à faire avec la matière à disposition.

Nous mettrons donc de côté, une fois pour toutes, des discussions concernant la plus importante ou moins d'utilité des sciences ou sa puissance de persuader n'importe qui pour choisir entre les solutions de rechange, et dirigeons seulement notre attention aux lois régissant certains phénomènes. Un lecteur qui peut ne pas avoir aucun intérêt en suivant une discussion sur cette ligne peut aussi bien arrêter de suite sa lecture.

Fin de citations.

Je me permets d'ajouter, modestement que la vérité est en soit unique et indivisible, sauf que parfois des discours pléthoriques de rhétorique, de qualité irréprochable, ont le mérité au delà du pouvoir de convaincre, le plus grave encore des mérites; celui de travestir la vérité.

En plus court "c'est pas celui qui parle le mieux qui dit nécessairement la vérité"

sincères salutations de Gramophone

29 avril 2007

LA PRISON DE LA LIBERTE

une vision claire de l'avenir de la France dans le cas ou soit monsieur Sarkozy qui gagne comment cela semble être le cas!

Soit en lisant Keynes ou Hayek, nous pouvons affirmer que leur vision reste cantonné à leur temps. Dans le sens où l'on attribue à l'économie, la politique et les dogmes des influences sur la société. Hors dès nous jours et puis dans l'avenir nous sommes dans une interaction entre l'activité humaine et ses conséquences.


Quelque soit le système "empire", avec ses dogmes nous sommes nécessairement redevables d'obligations en vers la société, puisque la vie en société implique des obligations, la notion de liberté s'incline du fait devant le principe de bienêtre sociale. C'est ainsi qu'un régime prend vite fait des allures de totalitarisme, sous la base de manipulations induites par la facilité qu'apporte le pouvoir.

À la lumière d'une telle hypothèse, nous pouvons comprendre les causes de la fin de tout empire. Exemple criant la Russie, où la corruption comment facteur interne, avec le lobbying pro Américain comment facteur externe, ont venu à but d'une idéologie du départ devenu utopie.

La liberté prend ici tout son sens, au mieux personne et libre ou pire la vie en société est en soit une prison.
Ainsi nous pouvons conclure que la démocratie n'est qu'un mot dans le dictionnaire, par la suite tout forme de gouvernement implique un pouvoir et en conséquence tout pouvoir implique une forme néfaste de législation nécessairement coercitive.

Parler d'État implique parler de législation, indispensable en apparence pour la gestion équitable des ressources. En vrai l'ETA implique la dictature despotique d'une élite, qui promulguerait des lois en faveur des législateurs.
Parler pour tant d'anarchie revienne au même car il y a dans l'être humain diverses caractéristiques hérédités de ses origines sauvages : la tendance à être grégaires. La tendance à la préméditation des actes en vu de tirer profit personnel. L'intelligence en soit est un outil de domination. Car au centre d'une anarchie il aurait nécessairement une minorité, voir un individu disposé à imposer sa volonté et donc à récolter le maximum de bénéfices.

Une fois ayant lu un peu sur l'économie, nous arrivons à une conclusion assez simple, le patronat de par le contact permanent, la pratique au quotidien et donc un exercice lui permettant d'engranger de l'expérience n'est peu que exceller dans son domaine qui est celui d'accroitre son capital. Tandis que l'ouvrier plutôt au chômage, dans la même optique ne peu que devenir chaque jours plus misérables, plus ignorant donc plus docile.
C'est l'accroissement accéléré de cette différence qui donnera le coup d'envoie de la fin de l'empire comment cela a été pour les autres.

C'est pour cela que quelque fois, j'ai croit possible, nécessaire voir indispensable, que les intellectuels intentent de trouver un issu digne de tant de technologies, pour éviter un dénuement sanglant.


C'est pour quoi certains moment de mon existence, je me dis que l'énergie qui perd la société dans cette lutte de contraires, pourrais avec un peu d'intelligence être canalisé pour donner la vrai valeur étymologique à des mot comment être humain, société, économie, écologie, liberté, égalité et fraternité.


La droite risque de conserver le pouvoir, pour continuer dans une tendance de libéralisme et d'appauvrissement des classes populaires en France.

Dommage que les classes populaires ignorent la signification de la politique, qu'écoutent des inepties, Ignorance quand tu nous tiens!

 

29 avril 2007

ELOCUBRATIONS

Entre nous pour quoi tant d'attention au programme, alors qu'il est bien connu que cela reste que des paroles en l'air, des "promesses" que ne sont jamais tenues.

 

Qu'elle naïveté, mais il faut se réveiller, c'est une tradition que de faire des promesses, une fois au pouvoir, les électeurs, des pillons sans ailes, n'ont qu'à bien se tenir. Seul sont bénéficié par la suite les lobbying traditionnaux fort bien représentés par les Sénateurs et autres Députes.

 

Vous allez voir, le puissant travail médiatique jusqu'à lors intense, retombera le lendemain de l'élection. Pour les gueux ça saura "circulez, il n'y a rien a voir", et les affaires reprendrons comment d'habitude. C'est pas pour autant qu'il faut prendre l'absurde décision de voter nul au blanc; car entre mauvais choix et très mauvais choix il y a encore une toute petite marge.

Publicité
Publicité
<< < 10 11 12 13
Publicité