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Élucubrations

Élucubrations
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1 janvier 2008

le souvenir de Martha

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Vers vingt deux heures je vois entrer, plus belle que jamais, Martha en plus toute seul, une belle robe jaune, une grande ceinture du même couleur, le décolleté agressif  composé d'un col très large, le bas disposant de découpés devant et derrière. Des chaussures à talon moyens, en couleur jaune aussi, - voilà – elle a dis – les enfants viennent de s'endormir, c'est pour ça que je suis un peu en retard – puis notre amphitryon répliqué – ne vous inquiété pas nous allions juste commencer à danser -  puis OSWALD  le collègue de classe de mon frère, démarre la musique, tout à coup, sa seule présence m'a laissé de marbre, pas moyen de bouger le moindre muscle, mes mollés tremblants, ma respiration, s'accélérant de plus en plus, mon cœur on direz pouvait se voir par-dessous la chemise, Monsieur ABDIA à poliment sortie à danser Martha, le rhum avec du boisson gazeuse est servi a volonté, à la fin de mon verre et quelques chanson plus tard; je me voie proposer par elle en personne de danser une chanson espagnole, sans doute l'effet du rhum m'apporta le courage, toujours est-t-il que j'ai eu le courage de danser et même d'avantage lui donner des morceaux de mes souvenir d'antan. Elle a sourie dans un signe de femme flatté, j'ai vu son regard s'illuminer, puis sa main sur mon dos me serrer plus fort encore, nous avons dansé plusieurs chansons, en parlant comme de très vieilles connaissances.  Par politesse elle m'imposé de faire sortir les filles de mon âge, - si nous continuos ainsi, tout le monde va nous remarquer et j'ai âge d'être ta mère, en plus marié -  j'ai donc invité une à une les deux filles, à danser de manière alternative, puis d'autres filles d'ailleurs jolies, complètement désinhibé, j'ai osé faire des choses jamais faites en état de sobriété, et pour tant dans d'autres circonstances j'aurais pris des claques, tandis que là, j'avais des sourires sournois, sauf que j'avais un objectif ou cible déjà définie. J'ai dansé par la suite avec plusieurs femmes mariés, je me suis trouvé très alaise pour tant, j'avais de quoi parler avec elles, et même quelques blagues, également très bien reçus. Par politesse? Je ne sais pas, le pouvoir du rhum, fait des miracles, déliant les langues!

Nous avons beaucoup mangé, beaucoup bu, et le temps lui ne se pas arrêté, trois heures du matin, La plus part des convives avaient déjà abandonnait la fête, nous habitions juste en face, Martha, avais d'après moi bu, en tout cas plus que moi, nous nous sommes mise d'accord, je partirais avant, mais pas direction chez moi, son époux étant pas à la maison, elle avait liberté, et nous avons fini pour nous retrouver dans un recoin du voisinage. Discret et pour tant seul pendant la nuit, à condition de pas trop faire du bruit. Au début assez facile, quelques minutes plus tard je craignais à tout moment qu'une fenêtre s'ouvre et d'être ainsi démasques.

Je me suis dis comment Thucydide –  " à La guerre, l'occasion n'attend pas" –  et dans une adaptation de Jean Cocteau : – "nous fûmes victime des pénombres où les sens rencontrent le cœur".

Il me manquait des mains, et une seule boche resta insuffisante face à sa fugue, pour tant mon pantalon n'a jamais descendu vraiment, ma chemise bien que déboutonné, ne m'a pas vraiment quittez,  elle par contre n'avait plus des vêtements intimes qui par sécurité j'ai déposé dans mes poches. Sans doute nous lui avons manqué au temps, mais une fois le tumultueux bouillonnement, et la fugue retombes à un niveau humain, nous avons optée pour reprendre nos esprits et le temps de la raison.

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31 décembre 2007

extrait sujet en construction

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Vraisemblablement

une vie

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Préface

Un émerveillement continuel des choses simples, des choses sans valeur, le comportement des êtres humains dans leurs relations, le type de rapports, l'environnement résultant font l'ensemble des raisons éveillant en moi une passion valétudinaire, en un mot la raison de l'écriture du présent texte.

Une biographie?

Non pas vraiment, bien que ma vie m'aurait apporté tant d'instants dignes des comptes de fées, d'autres bien moins dignes; je ne suis pas à la date d'aujourd'hui près à dévoiler tout sur moi.  Par pudeur! Pas vraiment. Par respect de la mémoire de tant de personnes qui restent souriantes dans ma mémoire, la plus part, ne purent pas affirmer ou infirmer mon discours, seul quelques fleurs devant leur tombe auraient fait étalage d'une quelconque gratitude de ma part.

Donner un avant goût, d'un livre c'est plus qu'un exercice de style "Le style est l'homme même" d'après Buffon ou encore "Le style n'est que l'ordre et le mouvement qu'on met dans ses pensées" du même auteur, il y a pour tant là, maintenant dans mon stock de textes 2 334 720 octets de texte le tout partialement classifié en 34 fichiers dans le typique traitement de texte, d'un fournisseur de logiciels mondialement connu sous un anglicisme équivalent à "fenêtres". Sans compter autant en octets que j'ai dans d'autres archives sauvegardés par cause, de l'éternelle bêtise humaine, je parle des actes malveillants de personnes qui aiment faire du mal pour plaisir.

C'est alors qu'un bon jour à cause d'un malheureux clic, n'importe qui va se trouver avec des lourdes dommages dans sont équipement d'informatique.

Je vais aborder tant des sujets, mais pour tant pas sur la partie technique de l'informatique ou les logiciels; non c'est plutôt les motivations des personnes à faire ou défaire la vie qui sont les sources de mon inspiration.

Aujourd'hui, depuis tant d'années j'ai pris une sacre désistions

Par cause d'une dosse de courage?

Non pas, vraiment! Parce que j'ai lu quelque chose et je voulu faire pareil alors ?

Tiens, ma tête prend un mouvement pendulaire entre l'avant et l'arrière.

J'ai l'habitude de m'arrêter systématiquement dans le rayon livres des grands magasins, pour lire le maximum possible des livres ayant reçu un prix: le Goncourt, le prix de la révélation féminine, le prix révélation de la jeunesse, etc. J'aurai aimé les acheter, mais l'économie mondiale (de ma poche) ne va pas trop bien, au point de vouloir ruiner mon compte pour des telles passions. Toujours est-t-il que j'ai donc lu des apparts "d’Alabama Song", parmi tant d'autres.

Initialement cela me donne un aperçu de la fibre ou filon dans lequel, semble avoir un publique conséquent sauf erreur car ce n'est pas nécessairement la production littéraire plus vendue qui capte un prix, mais en théorie celle qui aurait recueilli le plus de suffrages d'un jury.  Est-ce que je vais oser  présenter mon texte à un jury, rien que l'idée me fout déjà la trouille, pas vraiment, toujours est-t-il que cela me fait comprendre ô combien je suis loin dans la maîtrise de cette langue.  Je crois avoir un niveau de cours moyen un ou deux.

Après tout, personne connaît mon style, et moins encore mon talent (normale je n'ai pas des tels attributs) bien que des amis, insistent régulièrement sur mes qualités. Leur nombre reste très intime voir insignifiant.

Un préface saurait la partie principale, voir l'équivalent dans une maison à son entrée ou son séjours? En fin il faut que l'entrée en matière ai de la classe; attention sans que la suite c'est-à-dire les autres dépendances soient spartiates non plus, dans le cas contraire, mon introduction sauré tout simplement considéré de publicité mensongère, à juste titre.

Pour que les lecteurs soient contents il faut un condensé spectaculaire, de passions diverses, motiver l'imaginaire, faire rêver.

Je crains de ne pas avoir fait le choix judicieux pour ce type de lecteurs. Autant dire que vous allez de suite fermer le livre.  Attendez-là, s'il vous plaît! Il faut aussi que je puisse vivre des coups de mes doigts sur le clavier, oui, antan "vivre de sa plume" comme les producteurs de fois gras, de volaille; je vais doc à travers votre lecture, vous emmener dans des moments de vive émotion, moment d'exaltation et paroxysme, comment ça? Ici c'est l'introduction! Attendez-donc de lire la suite…

Les pages qui vont suivre, sont le fruit d'un travail d'adaptation, d'un individu, au milieu d'une culture distante de la sienne, beaucoup de personnes ont tout fait pour donner un petit coup de pouce; ces personnes je les remercie du fond de ma conscience.  'Un jour alors que je me trouvé à Paris l'hiver de 1988, sans domicile fixe, obligé de me déplacer dans la ville, pour avoir une douche il fallait se présenter entre sept heures du matin du lundi à vendredi à l'entrée d'un couvent pas loin de la station Charles Michels de la ligne Pont de Saint Cloud, Gare d'Austerlitz, puis aller prendre le petit déjeuner près de la station Château Rouge du Metro Port d'Orléans, Port de Clignancourt, j'ai donc évité tant que faire se peut, les contrôleurs, puis un jours sur la rive de Seine, j'ai vu un panneau signalant un bureau RATP, il état quatorze heures moins le quart; (avec un très mauvais français, j'ai du demander à la secrétaire de m'aider, de me donner une sorte de laisse passer pour l'année, étant donné que j'était un sans domicilie fixe, sans ressources, dans l'impossibilité de payer le moindre centime de franc pour un ticket de deuxième zone, La belle dame a commencé à m'envoyer paitre, lorsqu'un monsieur très élégant ouvre la porte de son bureau (il avait tout écouté il me semble bien) pour m'inviter à passer, puis d'un discourt très courtois me fait comprendre qu'il est impossible d'obtenir autant, mais malgré tout, il me donne quelques francs de quoi payer les photos, un étui de carte orange, puis deux tickets de deuxième zone (l'équivalent de deux mois de transport dans les services de la RATP, je crois que je garde ses coordonnées et surtout je garde dans mon cœur l'image d'un homme "humain" qui nécessairement très vite je dois remercier.  Les années passant j'ai trouvé de quoi subsister, d'autres "messieurs":

Des personnes comment Miriam, madame Dupuit du foyer AFTAM de Joigny âme qui doit reposer en paix, les formateurs et formatrices, Daniel HURET de Looze, mon premier chez au Service Prototypes d'une ex-filiale du groupe Vallourec; nombre de collègues de travail, de diverses nationalités (Milanovic, Nicolic, Stevic, Alain Forgaut, Gérard Laya, et les autres) des personnes d'une humanité sans mesure, m'ayant supporté voir poussé à progresser dans un univers différent, par la suite ont fait, une sorte de chaine solidaire qui fait qu'aujourd'hui un colombien, né à Palmira en 1960, fils d'ouvrier et d'une mère au foyer, soit tente d'usurper une place d'apprenti écrivain.

D'autres "amis" plus nombreux sans doute ont eu à mon égard des gestes moins reluisants que pour tant j'ai oublié, A tous ceux-là, à mes deux filles et mon actuelle épouse je dédie ce texte.

Kassandra, Trolle, Voila, vous trois, ici que des pseudonymes, mais dans ma pensée vous avez une valeur d'amis, pour tant, nous avons échangé pas beaucoup, vous autant que moi nous partageons une passion celle d'aimer échanger à travers de phrases dans un forum d'un journal quelconque, comment le font aussi Becdanlo, Isthar, Diego Ortiz, puis Bruno et Marie avec moi dans un site littéraire pour lequel j'ai plus que de l'affection puisque après la "Rue des Auteurs" c'est Pascal qui à eu en vers moi le geste d'ouvrir les portes de son site.  Il n'est pas tout seul à avoir les mérites bien sur, le bénévolat est un geste humain surtout en littérature. Merci à vous tous pour qui je prend mon courage à deux main et je commence donc à écrire, réviser et ré-écrire cet essais à la manière d'une biographie.

Les ennuis

En Colombie

I Au travail vers 1985

Coutume du vendredi,  au beau milieu des bureaux  de l'extension distant  de l'usine, allez cinq bons minutes à pied, en petit comité  sans mixité,  évident, à chaque opportunité se défini le programme de la nuit; une tradition de la culture local "le vendredi culturel"

Marius, échange avec les chauffeurs, des instructions du courrier et des nouvelles, le programme de samedi pour certains, celui de samedi et dimanche pour d'autres.  Le milieu administratif se trouve heureusement majoritairement féminisé, bien entendu que les secrétaires les plus efficientes sont les plus anciennes, pas nécessairement le plus belles. Quoi que Marie-Hélène reste à mes yeux, toujours délicieuse de charme.

Pour Diégo ou Xavier, les avis différent largement, bien que Diego soit en concubinage déjà père et tout. Puis Xavier lui, s'exprime malgré être en relation très intime avec  Louise Marina.

C'est assez curieux puisque, en théorie et grâce aux médiats, l'image idéal d'une femme, semble être celle d'une femme de 48 kilos aux mesures 88 56 90, mais dans la réalité nous sommes tous en relation directe (en couple, mariés, en concubinage, etc.) avec des 70 kilos 95 65 105; rien a voir avec l'imaginaire ou la volonté des publicistes. C'est un choix délibéré de ma part, c'est d'ailleurs plus plaisant en pratique.  Un choix qui tacitement reste assumé par tous.

La température à l'ombre ne descend pas des 28 degrés centigrades, cela aiguise en chacun l'envie d'une bonne bière bien froide, dans une table de la taverne habituelle.

Ce soir là nous avons eu le privilège de partager la table avec notre directeur administrative, le docteur Dario Valenzuela, jusqu'à l'heure d'aller à son "rencard" avec la belle Louise Hélène.

Ce soir là, j'ai eu l'honneur d'écouter le passé d'un grand home, pour tant issu d'une famille d'après lui modeste, puisque son père était charcutier dans le petit village du SANTUARIO à quelques vingt kilomètres de là. L'alcool il est connu joue le rôle de dés inhibiteur, et c'est peut-être cela qui m'a fais connaître l'autre vissage de mon Directeur Administratif, qui pour tant j'admiré déjà pour une multitude de gestes humains ou quotidien.  Mon bureau étant adossé à un des siens (il avait deux) j'ai du voir se traiter nombre de dossiers sensibles, des dossiers de détresse qui mon fait vite comprendre que j'avais de quoi me sentir sur de lui.  Nous avons eu à cette table là, les deux heures courtes qu'il à partagé avec nous, le droit à un cours magistrale de sociologie, de savoir vivre, nous avons connu alors une grosse partie des difficultés d'un fils de paysan pour se faire une place dans le milieu très critique des élites bourgeoises.  Les larmes furent pour ainsi dire le sceau garantissant l'authenticité d'un récit que je vais vous transcrire en la mesure de la capacité de ma mémoire:

Il est très dure d'abord économiquement pour un étudiant sans ressources d'avancer dans l'éducation supérieur, où que ça soit, j'entends géographiquement par tout dans le monde. L'éducation, reste une affaire des élites, les classes sociales moins favorisés restent à l'écart de toute opportunité d'escalader ou prendre l'ascenseur sociale.  Notre directeur une fois ayant terminé son bac général à SANTURIO, à émigré  à PEREIRA, fait tout sorte de petits boulots, garçon dans les restaurants, dans les grilles, dans les discothèques, voiturier, etc. pour se payer les études d'administration d'entreprises à l'université. C'est alors que j'ai fais relation entre son énorme humanisme et les multiples problèmes des travailleurs (une société de 1260 emplois INGENIO RISARALDA S.A.)

Un lundi du mois de décembre de 1981, je me suis trouve par l'effort de mon père et la collaboration du Docteur Julien César YEPEZ, directeur de la fabrication, au beau milieu de l'outillage; un soudeur en charge de m'évaluer en travaux pratique, à soudé un tuyau de

8 pouces

de diamètre à peut près à deux mètres du sol,  coupé en deux au par avant à fin de valider mes prétentions de soudeur avec un baccalauréat de métallurgiste tout frais en poche.  Malheur, j'avais jamais connu une telle activité dans les ateliers de mon lycée, nous avions pour tant eu la chance de faire les portes pour un lotissement, rien à voir de la tôle fine des portes avec du tube de haute pression. Je me suis senti tout petit, au bout d'une petite demi-heure, sans avoir réussie à souder les deux tubes en question. Même pas capable de déterminer le bon nombre d'ampères en fonction des l'épaisseur du tube, et du diamètre de la baguette, même pas foutu de trouver à quoi servaient les quadrants de Courant et Tension dans le poste de marque Lincoln des générateurs d'une robustesse sans concurrence, pour tant dans l'atelier du Lycée y avait deux de la même gamme, sans même savoir à quoi pouvaient servir les manchettes que le mécano m'a passé pour me protéger; sans même prévoir la bonne polarité.  Pitoyable petit mec! Je me suis senti ainsi, bon pour être balayeur de l'atelier tout ou plus.

En Amérique, les postes sont proposés aux travailleurs de la société et dans des cas d'exception à des fils des travailleurs, la Colombie ne fait pas exception à la technique de l'embouche.  La preuve pratique favorisé ceux qui connaissent parfaitement le travaille, la preuve théorique, permets pour ainsi dire si les deux parties concordent, étant donné que la preuve pratique est piloté par un ouvrier expérimenté, et examiné par un ingénieur en chef du service concerné, il est impossible de se venter; pour la preuve théorique, par contre les connaissances d'un bac sont par fois suffisantes pour prouver bien au-delà.  Je me suis trouvé donc auxiliaire mécanicien d'un atelier ou la canne à sucre et moulue, "les moulins", pour me faire descendre du nouage du niveau supérieur d'un bac en métallurgie, j'ai passé deux mois à nettoyer les axes 15 à

18 pouces

des énormes rouleaux d'acier, en équipe de journée. A l'heure du repas de midi, j'ai pouvez approcher des vrais soudeurs, des métaliers, des hommes qui soudaient tout au long de leurs journées, je me disais qu'un bon jour j'allais avoir une place égale au mieux encore.

Les larmes coulaient sur son rond visage, sa voix entre coupé par les soupirs, se filtré parmi la musique romantique de la taverne, la souffrance sortait parmi ces larmes, dans une forme de délivrance, un récit à manière de thérapie, nous n'osions pas interrompre, par respect surtout, mais aussi par un sentiment intime qui nous dis que le charisme sort grandi encore dans des moments du genre.  Il faut dire que depuis cette premier sortie avec notre directeur, je répondu de manière plus aimable et plus portement à la moindre sollicitude de mon directeur; mais surtout avec plaisir, car dans son regard et sa voix je trouvé depuis non pas un chef mais un ami. Pour qui j'aurais fait tout.

Se coucher à trois heures de matin après une longue journée, une partie à l'université, le matin, une après-midi à la bibliothèque (l'endroit idéal pour consulter et faire les travaux) une douche dans les installations de l'Université pour souci d'économie d'eau chez soit. Puis dormir tout ou plus trois ou quatre heures par jour pendant tant d'années. Difficile de se tenir éveillé ainsi en cours. Difficile de se donner au maximum, difficile d'avoir une bonne moyenne. Un trois virgule deux sur cinq, sans plus. Difficile de vouloir draguer une petite amie, un physique famélique, difficile de donner bonne impression aux filles des riches banquiers, des grands de l'industrie et l'agriculture de la région du vieux CALDAS, ancien département devenu trois, mais toujours la zone la plus riche en production de Café en Colombie. (le département c'est divisé en les départements de CALDAS RISARALDA et QUINDIO) Les filles qui vont aux universités en journée sont en général issues de familles aisées, même les moins belles sont déjà très bien habillés et dont en fin de compte jolies. Puis le premier petit job comment responsable d'une station d'essence, passer d'une vie de minable étudiant à celle-là, un salaire, même au début trop grand pour dépenser; puis la raison prend vite le dessus, économiser pour mieux profiter dans le temps, puis la direction d'une entreprise de chaussures, le salaire multiplié par 10 encore plus d'argent, deux moi de salaire équivalent au prix d'une belle motocyclette, puis l'ambition normale, avec l'expérience, d'autres postes à chaque fois en redoublant le salaire. La possibilité de se payer un belle appartement à PEREIRA, les relations qui s'amplifient, puis le premier amour, le mariage, et plus de relations, pour finir directeur administratif de la deuxième entreprise du département, la première étant la mairie de la ville.  Un énorme pouvoir en main, directeur administrative de la deuxième entreprise; les larmes son plutôt de joie, cette fois-ci

II J'aurais pu devenir faussaire! 1977

Amparo vint en suppléante de Estelle "CANDELA"; cette fois-ci, les mensurations étant plus marquées; personnellement j'approuvai la nomination deux raisons à cela (avis partagé parmi mes intimes): D'une Estelle fut mise en cloque par ALVAREZ un de nous professeurs d'électricité ; du fait elle eus perdu en grand partie nombre des qualités, vis-à-vis des lignes exclusives tout particulièrement à niveau des hanches, fesses et seins; quoi que certains volume lui donna un charme supplémentaire. Dans le dessin une délicieuse vue d'Amparo depuis mon escabeau.

La deuxième raison, prendrait une justification naturelle, cela concerna les mystères physiologiques de la vie même.  La fenêtre d'Amparo se trouva à chaque pause pris, donc avec OSORIO nous avons adopté l'excuse de consultation à la bibliothèque, d''où nous avions une vue imprenable de tous ses faits et gestes. Tout particulièrement à la recherche "malencontreuse" des livres les plus hauts placés, (monopole de l'escabeau) il faut dire que pendant des longs mois nous avons séchait le plus possible les cours.  Autant dire que comme par le passé avec Estelle nos draps au matin, eurent des parts grivelées.

Nous eûmes travaillé, toute cette année avec enthousiasme, ma moyenne de seize sur vingt me plaisais, huitième de la classe.  OSORIO voyez comme d'habitude en moi son grand copain, normal dans les examens de dessin, subrepticement nous échangions nous feuilles, seul technique rigoureuse jamais écrire nos noms avant la fin du temps réglementaire, CARDONA d'ailleurs payé pour moi, tout où que nous allions, il avait un emploi fixe de fin de semaine, chez un charcutier au marché centrale de CARTAGO, pas un seul examen, en dessin avait pour eux une note trop inférieure à la mienne.  Pour tant en dessin ils étaient très loin du compte.  Mais il s'agissait de mes potes, mon intention était de leur aider simplement. En échange moi d'habitude timide et trouillard, j'avais en eu un support logistique et tactique de grand loyauté, mais voilà le danger de la louange! Sentiment qu'à faillit me coûter l'expulsion du Lycée.

Le petit comité de mes cinq ou six fervents flatteurs et en particulier FERNADEZ (fils unique d'un haut fonctionnaire des impôts de la ville, fraîchement débarqué de CALI, donc deux années déjà dans la même classe) a eu l'idée de m'inciter à leur élaborer des places pour le cinéma, étant donné que j'avais d'après eu le don du dessin. CARDONA l'autre, (le petit étant fils d'un fonctionnaire de l'éducation pour la zone nord du département), avais accès à des encres de sceaux, FERNADEZ lui avait accès à du papier type pour les billets de cinéma, et moi les outils (des plumes, une loupe, et un bureau de dessin, made in Nestor)

En fils d'ouvrier j'avais un piètre niveau en équipement, j'ai me trouvé au quotidien face à des nécessités loin de celles de mes collègues, les travaux que les autres payèrent pour dactylographier, moi je copie à la main, plutôt dessina qu'avoir écrit. Une certaine occasion pour un travail de philosophie, au moins huit pages, (une dissertation sur je pense donc j'existe) je me suis appliqué au point que j'obtins une note de dix-huit et demi sur vingt, mais cela éveilla la curiosité du professeur sur ma prédisposition à la calligraphie.

Le professeur en question garda cette image qui lui eut valu la prémonition sous forme sans doute d'une colombe "moucharde" (une fuite dans mon clan?); il a ainsi dépêché un élève (niveau sixième en France, deuxième en Colombie) pour m'acheter un billet  du cinéma, au moins trois fois l'énergumène aurait insistait sur moi, puis "l'inexpérience de débutant faussaire à parlé" je vendis mon ticket. O malheur, en plein cour quelques minutes plus tard, le vice-recteur fait irruption en compagnie de mon acheteur providentiel,  qui me pointa de son doigt.

Au revoir à ma carrière de délinquant! O combien je remercie maintenant ce professeur là, en me démasquant. Je dois vous dire comme j'aurais été sortie du pétrin ? Dans le bureau du vice recteur; voilà dit lui, en regardant attentivement deux billets donc un aurait fait l'objet d'une falsification, je ne trouve pas de différence, le travail si il y a eu étant excellent je vous prie monsieur d'aller me chercher la totalité des billets soi-disant falsifies en circulation et mes les apporter à mon bureau avant la première séance du film aussi vite que possible, allez et que ça saute! Le bon professeur montra une tête d'insatisfaction réprimé. Moi de mon côté, je ne pas voulu attendre une quelconque modification de l'ordre, en conséquence j'ai pris mes deux jambes à mon cou en mettant en exécution l'ordre.

Je me suis trouvé, avec les tickets à son bureau, j'ai eu droit à un serment d'une demi heure de la part d'un grand monsieur, je ne vais pas entrer dans les détails, mais disant que là j'ai eu une des plus belles leçons de toute ma vie.

Curieusement ma cote de popularité à explosé en outrepassant les murs du Lycée, même Amparo avait en vers moi un autre regard. Certaines filles dans le bus qu'avant n'auraient pas osé m'adresser la parole, me parlaient plus aisément, j'ai eu des retombées économiques substantielles, du à des travaux d'exposition en particulier de filles qui vinrent de plus en plus chez moi, et par fois même en voiture avec leurs parent.  Bien sur que de là, à saisir une si belle impossible, vu la différence de classe sociale, moi dans le quartier de SAN JERONIMO et elles de celui du PRADO. J'eus pour tant dans la modeste pièce "à l'origine de débarras" rafistolé en chambre d'étude par mes soins, de très belles filles, chose qui m'aurait valu des ennuis avec Martha et Lilian mes deux plus proches copines et voisines de l'époque; rien de très grave des frictions ou exploitons minores de jalousie. Pendant des mois j'ai perdu mes droits à embraser Martha. D'autre coté, j'acquis un autre genre de copines au point de perdre mon pucelage. Les détails seront donnés plus tard.

III les syndicats 1976

Ma fibre ou tendance de gauche commence au Lycée, un professeur de philosophie (autre bien sur du nom AGUIRRE) nous aurait apprit par chance beaucoup de philosophie, au-delà des lectures, l'envie d'analyser en profondeur la pensée, plus que du romantisme douce sur des idées toutes faites en accord avec une éducation qui veut que les nouvelles générations ne cherchent même pas à réfléchir, donc moins encore à critiquer…

Platon me semble disait : "C'est la plus radicale manière d'anéantir tout discours que d'isoler chaque chose de tout le reste; car c'est par la mutuelle combinaison des formes que le discours nous est né"

Le déménagement des installations physiques du Lycée INDALECIO PENILLA de son ancienne adresse (rue 11 avec avenue 7) vers des installations modernes à six kilomètres de la ville, fut la cause de nombreuses manifestations, vous allez dire ridicule, toujours les insatisfaits, les contestataires, en désaccord avec une excellente mesure.  Voilà pour aller là-bas, il fallait emprunter un service urbain (TRANSPORTES MONTOYA HERMANOS) déficient déjà mais en plus le circuit comprenez les plus vieux véhicules de la compagnie pas adaptés au nombre d'élèves à des heures fixes. Un petit dessin ici joint vous donnez un aperçu.

IV des cocktails Molotov 1977

Sous l'égide des classes supérieures, le comité de suivi du déménagement du Lycée, commence à  faire des réunions d'information, de mise en place de stratégie et tactiques pour incrémenter les adhérents.

Une délégation de quatre étudiants, a prise quatre mois pour obtenir rendez-vous avec le bourgmestre de la ville de Cartago, le jour venu, les camarades auraient attendu deux heures, et finalement été reçus par un assistant, qui s'aurait limité à demander un dossier de nous revendications.

Un des frères ZAPATA (de nous jours résident australien, vous pouvez devenir pour quoi) très virulent, me surtout charismatique, du à un discours très agressif, qui déclenchait régulièrement des salves d'applaudissements.

Lors père, commerçant en café, disposé du local idéal pour nous réunions, si ça se trouve il n'a jamais soupçonné, l'énorme utilité pour nous d'un ancien théâtre devenu dépôt en location pour des tonnes de café, et centre de conférences pour nous le soir venu.

Parmi nous il y avait des collègues, de bonne famille! D'ailleurs certains venaient en motocyclette et accompagné des sveltes amazones, curieusement, une fois à l'intérieur de l'ancien théâtre, en fin ça doit être le manque de lumière, je dois exagérer sans doute, nous étions plus nombreux à la sortie sans doute, en fin je veux dire qu'il n'y avais pas tant des méthodes anti conception, le endroit était si grand qu'il était impossible de voir dans la pénombre, au-delà de quatre ou cinq mètres. Parmi les tonnes de café en sacs de quatre vingt kilos, et les différents empilements en fonction de qualité sûrement. Sans parler des dépendances, où je ne jamais eu envie d'aller, pour quoi déranger! 

Le fils ZAPATA donc devenez en quelques sorts, d'office le leader, je me rappel le soir de la tant attendu réunion avec le maire; il nous disait – cher camarades, l'administration municipale, nous prend surtout pas au sérieux, vous la qualité des échanges d'aujourd'hui, face un tel insulte nous devons répliquer par un changement radical de tactique.  Si l'administration ne veut pas le dialogue, alors ils auront l'action des étudiants ITI (interruption par l'applaudissement garni) camarades! Du calma! Camarades! Je vous propose, de programmer une manifestation entre la porte de l'ITI (Institut Technique Industriel) et la résidence du Maire – (Les quelques quarante étudiant présents dans le local, explosent de joie scandant déjà, "Nous voulons un service de bus régulier digne de ce nom entre la ville et le nouveau local"

Tard au soir un fourgon, aurait venu chez les parent de plusieurs membres du comité, à la recherche des insurgés, seul un parmi eux aurait été trouve chez lui, le lendemain d'après le rapport de policé paru quelques jours dans le journal local, l'étudiant de dix sept ans aurait été laissé en liberté. Presque une semaine plus tard son corps a été trouvé saturé d'hématomes, plusieurs fractures de vertèbres et du crane, la multiplicité des coups ayant d'après le médecin légiste provoqué sa mort.

Cette macabre découverte fut le déclencheur d'une manifestation des élèves du Lycée qui est parti de manière spontanée presque sans contrôle, toujours est-t-il que le nombre de véhicules retournés au passage des étudiant fut nombreux,  moi personnellement j'avais plus que de la haine, une grosse envie de me trouver face aux hommes en uniforme, tous dans le cortège me semble souhaitaient cela, nous aurions dans l'aveuglement de la colère voulu mourir en affrontant la police. 

Aucun homme en uniforme, nous fesse front, alors nous avons avancé sur la rue cinq depuis l'avenue douze en ligne droite vers le bureau du commande municipal de police, à l'auteur de l'église de la Cathédrale nous chantions tous en choure l'hymne national, puis tout véhicule été systématiquement retourné, je ne sais pas comment, les flammes suivent, nous cœurs battaient très fort, les photos du corps de notre camarade brutalement assassiné nous donnez le courage, nous avons continué a avancer vers le poste principal de police.  Les plus grands collèges du défunt marchaient toujours devant, puis le choure scandait de plus en plus fort "policier assassins", "policier assassins" les quelques quatre cents ou cinq cents étudiants d'une seule voix, curieusement pas une seule voiture de police dans les parages, les fenêtres et portes fermées, le bâtiment de trois étages semblé abandonné.  Ils étaient derrière la grande porte? Ils étaient derrière les fenêtres des étages supérieures? Comment le savoir?  Les gamin de première année, se sont régulièrement arrêté pour pisser dans les escaliers d'entre du bâtiment puis sur la grande porte. Quelques uns tentaient même de regarder travers les vitres, protégés par des gros barreaux, en faire torsadé carré.  Nous avons continué sur l'avenue cinq jusqu'à la rue dix sept où nous avons prix direction nord pour tourner encore direction le nouveau locaux du Lycée sur l'avenue quatre, qui donnée directement sur la route départementale, pas une seule voiture dans  notre chemin, la fumée reste déjà derrière nous, les gens nous regardaient à travers leurs fenêtres.  "Policiers assassins, nous voulons un service urbain".

Cela reste étonnant qu'un groupe de gosses, se promenant librement dans la rue, dans une telle manifestation de force; la rumeur courrai entre nous que la police nous attendait vers la rue vingt, la rue en question arrivé devant nous, toujours personne, ça été assez bizarre, puis de suite d'autres rumeurs courraient au sein du groupe, il faut dire qu'à partir de la des deux cotés de la route il n'y avait plus que des pâturages. Nous restions que la moitié à partir de là, puis a part le couvent du diocèse  à deux kilomètres de la, la seul zone habité corresponde aux nouvelles installations du Lycée, le stade municipal et la caserne militaire le tout distant quelques cinq kilomètres.

La question est ainsi gonflé dans nos têtes, (soulagés par l'absence d'obstacles, sans doute et aussi par la fatigue et une voix cassé après tant avoir crié) l'hantise d'un guetta pan de la part de l'armée comme prochain obstacle; puisque, notre nouveau Lycée se trouvé séparé par le stade du désagréable voisin.

Très vite une stratégie a pris corps, dans le où nous nous trouvions devant l'armée, l'ordre est donné de se disperser a travers les pâturages.  D'une certaine manière, sans doute nous n'avions pas le poids vis-à-vis de l'armée, et d'autre part notre seul ennemi du moment resta la police.

Toujours est-t-il, qu'aucun véhicule arrivé sur nous, pour tant nous avancions sur une route très fréquenté, puisque tous les échanges commerciaux avec la zone cafetiers du nord du département se fessé par cette voie. Plus tard nous avons appris que le service du transite de la police détournée à distance le trafique des véhicules, à trois ou quatre kilomètres en amont.

Nous avons arrivé aux bâtiments du nouveau Lycée avec un sentiment ambigu entre satisfaction d'avoir passé devant le Commande Municipal de Police, sans avoir trouvé résistance, et un fond d'angoisse de savoir qu'un compagnon resté à enterrer dans le cimentier local, pour une cause que nous n'avions pas pour autant gagné.

Les journaux départementaux et à tirage nationaux, montraient des images des émeutes à Cartago, puis bonne nouvelle, un commentaire du secrétaire départemental du Transport dans lequel figuré un décret, autorisaient le service urbain à l'origine de nos revendications.

La joie, des étudiants dans le lycée a était énorme nous avons arrêté, l'assemblée permanente décrété depuis déjà trois semaines. Dans la cour principal, le secrétaire général du comité GOMEZ, le grand frère de mon camarade de classe, à lu un communique extraordinaire, puis à fini par demander une minute de silence en honneur à notre camarade assassiné par des sbires du pouvoir fichiste, sont les termes de fin du communiqué.  Une fois la minute de silence terminé, tout le monde s'adresse à ses classes habituelles.

V Le secret de Marthe 1970

Depuis tant d'années lorsque je retourné le matin avec le lait dans une cantine, provenant de l'Alliance Pour le Progrès, distribué dans le couvent des bonnes sœurs assez sauvent j'avais le plaisir de croiser une femme de la trentaine, blonde au yeux bleus, qui balayât son trottoir, les murs de sa maison fort différents des autres murs, au départ je me suis fait à l'idée qu'il s'agisse d'une sorte de crèche pour des enfants  en bas âge, (chose impossible surtout là) mais bon, ces chevaux en or brillaient avec les premier rayons du soleil, et sa nuisette à contre jours me laissait deviner toute sa beauté, de femme marié avec deux enfants. J'habité deux rues plus loin, et je n'avais même pas douze ans.  Difficile dans un tel contexte d'avoir la moindre petite chance.

Sept plus tard et un énième déménagement, pour finir à quelques mètres de cette belle façade, aux couleurs et dessins faisant allusion à un centre pour enfants, des figures, diverses en couleurs plats, un visage d'enfant, puis à force j'ai donc connu l'époux de si belle nymphéa, "un publiciste peintre" l'époux de celle que pour tant j'avais jamais écarté dans mes souvenirs comment femme idéale. J'ai trouvé comment excuse pour aller frapper à cette porte, la présentation de quelques dessins, au crayon papier, que j'ai donné en mains propres à l'heureux et chanceux, pouvant avoir toutes ces nuits dans son lit autant de quoi être comblait.

Le premier noël arrive dans ce secteur du quartier, nous avons eu la chance d'être invités chez la famille ABADIA. Le père travaillant dans une grande usine de la région PAPELES NACIONALES. Deux filles (Marie-Sol et Luz-Helenne) donc une de mon âge, d'ailleurs de peau cannelle, assez jolie mais autant timide que naïve, difficile de draguer dans un milieu aussi cato, toutes les dimanches la famille au complet allé à la messe de la chapelle situé à quelques rues de là.  Nous avons eu un accueille positif, et donc nous avons été invité chez les ABADIA pour la nuit de noël, jusqu'à là rien d'extraordinaire, si être invité pour cette famille plutôt bourgeoise de la rue, pour quoi? J'aurais voulu sortir avec sa fille aînée, mais voilà que le troisième (du prénom Oswaldo, sans compter le dernier John Jairo)  partait en cours avec mon frère et que, j'ai ainsi découvert que mon frère m'avait devancé, Il avait commencé à sortir avec Marie-Sol, et avait terminé pour sortir avec ma cible. Donc je changé le fusil d'épaule, avec un peu de rhum et du temps, j'aurais même ciblé la mère, mais le nombre d'obstacles était de taille, impossible, restaient les autres filles voisines invités pour l'occasion, la Sœur de CARDONA, trop maigre à mon goût, puis trop snob aussi ah! Aussi elle avait depuis un petit ami avec qui quelques soirs par semaine se tripotez les soirs devant sa porte.

Marthe eut connu son époux, alors qu'elle occupé un poste de maitresse d'école, très vite séduite par son apollon, avec les ciseaux affutés du mariage elle aurait cru lui avoir coupé les ailes qu'il mua après la naissance du deuxième enfant. Depuis il ne plus là, pour le diner, les conversations se limitant de plus en plus entre le couple, la vie mondaine du milieu aisé lui prenant avec le plaisir de l'art et le travail son temps. Monsieur néglige ainsi ses obligations. La présence de deux enfants devenant l'excuse pour écarter une femme encore très belle des sorties nocturnes d'un couple d'autrefois.

La comtesse de La Fayette aurait dit –  "On ne connaît point les femmes, elles ne se connaissent pas elles-mêmes, et ce sont les occasions qui décident des sentiments de leur cœur"–.

Puis il y à FELIX, et les autres qui s'obstinent à rester sur le trottoir, je les rejoins, pour oublier momentanément mon objectif ultime d'une telle soirée.  Les deux filles sans doute envoyez par les parents sortent systématiquement nous donner à boire avec des gourmandises, puis insistent aussi pour nous faire rentrer. Nous sommes nombreux, puis mes camarades disposent d'un carnet garni de cites pour cette soirée, c'est la nuit de noël, et eux ont des copines, de la famille, et d'autres amis dans la ville. Le trottoir là, reste en quelques sort le rendez-vous de mise au point d'une stratégie, Eux sont tous né et grandi parmi ces filles, et cela forge une règle éthique pour ainsi dire, car entre eux il y des sœurs, et c'est assez désagréable que de devoir s'en expliquer par la suite entre vieux amis. Nous avons parlait donc des options, des lieux au top, pour y se présenter, j'ai même eu des invitations, chez leurs familles; mais étant donné que la nuit commença, je me suis dire autant rester près de chez moi, juste en face, et si vraiment le gibier arrivait à manquer alors je partirais, des cibles potentielles, pour moi il y avait au moins cinq.  C'est une manière de parler très crue mais une manière de dire les choses en plaisantant

Vers vingt deux heures je vois entrer, plus belle que jamais, Martha en plus toute seul, une belle robe jaune, une grande ceinture du même couleur, le décolleté agressif  composé d'un col très large, le bas disposant de découpés devant et derrière. Des chaussures à talon moyens, en couleur jaune aussi, - voilà – elle a dis – les enfants viennent de s'endormir, c'est pour ça que je suis un peu en retard – puis notre amphitryon répliqué – ne vous inquiété pas nous allions juste commencer à danser -  puis OSWALDO  le collègue de classe de mon frère, démarre la musique, tout à coup, sa seule présence m'a laissé de marbre, pas moyen de bouger le moindre muscle, mes mollés tremblants, ma respiration, s'accélérant de plus en plus, mon cœur on direz pouvait se voir par-dessous la chemise, Monsieur ABADIA à poliment sortie à danser Martha, le rhum avec du boisson gazeuse est servi a volonté, à la fin de mon verre et quelques chanson plus tard; je me voie proposer par elle en personne de danser une chanson espagnole, sans doute l'effet du rhum m'apporta le courage, toujours est-t-il que j'ai eu le courage de danser et même d'avantage lui donner des morceaux de mes souvenir d'antan. Elle a sourie dans un signe de femme flatté, j'ai vu son regard s'illuminer, puis sa main sur mon dos me serrer plus fort encore, nous avons dansé plusieurs chansons, en parlant comme de très vieilles connaissances.  Par politesse elle m'imposé de faire sortir les filles de mon âge, - si nous continuos ainsi, tout le monde va nous remarquer et j'ai âge d'être ta mère, en plus marié -  j'ai donc invité une à une les deux filles, à danser de manière alternative, puis d'autres filles d'ailleurs jolies, complètement désinhibé, j'ai osé faire des choses jamais faites en état de sobriété, et pour tant dans d'autres circonstances j'aurais pris des claques, tandis que là, j'avais des sourires sournois, sauf que j'avais un objectif ou cible déjà définie. J'ai dansé par la suite avec plusieurs femmes mariés, je me suis trouvé très alaise pour tant, j'avais de quoi parler avec elles, et même quelques blagues, également très bien reçus. Par politesse? Je ne sais pas, le pouvoir du rhum, fait des miracles, déliant les langues!

Nous avons beaucoup mangé, beaucoup bu, et le temps lui ne se pas arrêté, trois heures du matin, La plus part des convives avaient déjà abandonnait la fête, nous habitions juste en face, Martha, avais d'après moi bu, en tout cas plus que moi, nous nous sommes mise d'accord, je partirais avant, mais pas direction chez moi, son époux étant pas à la maison, elle avait liberté, et nous avons fini pour nous retrouver dans un recoin du voisinage. Discret et pour tant seul pendant la nuit, à condition de pas trop faire du bruit. Au début assez facile, quelques minutes plus tard je craignais à tout moment qu'une fenêtre s'ouvre et d'être ainsi démasques.

Je me suis dis comment Thucydide –  " à La guerre, l'occasion n'attend pas" –  et dans une adaptation de Jean Cocteau : – "nous fûmes victime des pénombres où les sens rencontrent le cœur".

Il me manquait des mains, et une seule boche resta insuffisante face à sa fugue, pour tant mon pantalon n'a jamais descendu vraiment, ma chemise bien que déboutonné, ne m'a pas vraiment quittez,  elle par contre n'avait plus des vêtements intimes qui par sécurité j'ai déposé dans mes poches. Sans doute nous lui avons manqué au temps, mais une fois le tumultueux bouillonnement, et la fugue retombes à un niveau humain, nous avons optée pour reprendre nos esprits et le temps de la raison.

VII Scandale des factures du service publique

Pendant plusieurs années, la facturation des services publics, augmentaient, puis nous avons pris l'habitude de comparer avec des villes d'une population similaire, l'écart étant de plus en plus scandaleux, nous avons comparez avec des villes plus grandes, puis au but d'un moment les journaux se sont emparé à son tour d'une espèce de constante, nous avons demandé à des comptables de faire des analyses de la facturation.

Plusieurs membres du groupe, des professeurs, des syndicaux, ont pris l'habitude presque du porte; exception faite de prendre des risques dans les quartiers bourgeois,  surtout d'éviter des personnes suspectes de travailler pour le DAS ou le F2,  un réseau d'habitants en fin, avec le but de récolter le maximum de factures par foyer.

Cela dit vu la durée, de la campagne, plus de huit mois, nécessairement il y a eu des fuites, qui se sont traduit par des liquidations sommaires, deux ou trois leaders ont été trouvez cribles de balles, dans des endroits typiques, utilisé par les services du DAS ou el F2. MANTILLA, en particulier reste dans ma mémoire, puisque frère d'élèves ayant partagé la même école et lycée que moi.

Quelques vies, c'est le prie a payer dans une mission par laquelle, la population civile cherche tout simplement à obtenir réparation des abus du délit de malversation de fonds, délit en bande organisée, car la procédure donnant lieu à des surtaxes des services publiques, impliqué des employez officiels de l'Etat. L'analyse de milliers de factures permet d'arriver à la conclusion d'une arnaque très bien ficelé à niveau de l'administration locale.

Puis une fois de plus un comité local de lutte contre le délit de détournement de l'argent public c'est constitué, les fonds nécessaires ont été constitué pour une plante devant le tribunal de commerce porté par un avocat, bon nombre de familles solidaires très généreuses, nous ont été d'un grand secours.

Les actions ont été décidez, porter l'affaire aux journaux nationaux, étant la priorité principal, un nombre important des fonctionnaires des services publiques ont été ainsi mis en accusation, la démission du directeur fut demandé, en première instance, et au but de quelques mois, d'immobilité dans la gestion judiciaire, une manifestation fut décidé, puis une autre.

Les manifestations en ville, ne donnent pas grand résultat à niveau médiatique, c'est ainsi qu'un blocage de l'économie de la ville fut décidé malheureusement l'heure choisie me semble été pas idéale.

Pour raison discutables de stratégie, le blocage démarré à minuit; Puisque l'objectif été de bloquer les quatre principales artères du transport de la ville, je donc "au hasard" choisie la route en communication avec PEREIRA, capital du département voisin; de la stratégie, peut-être, la caserne ou garnissions militaire de cette ville se trouvé sur la même route, il faut dire qu'avant le pont sur le fleuve "La Vieille" se trouve la plus grande concentration de maisons de femmes de vie licencieuse de la ville".

Bien qu'avoir des activités du genre association, syndicale et comités, par rapport à la vie de famille reste l'excuse principale pour être absent de chez soit "même la nuit" c'est le pur hasard qui a fait que je sois inclus dans le groupe du pont sur le fleuve "LA VIEJA".

Le blocage n'ayant pas dure au de-là de cinq heures du matin, pour manque de personnes mais surtout par cause de l'arrivé de l'armée, qui nous aurait forcé  à décamper en vitesse. Au-delà de l'expérience symbolique, le coup médiatique à été bien maigre.  Avec le recul je crois que cette tentative se compte parmi l'un des plus grands échecs de ma vie.

Pour tant tous les travailleurs à la découpe de canne de la raffinerie INGENIO RISARALDA S.A. ont bien été retenus, sur la route en provenance de CALI, je m'en veux en partie mais c'est des effets que les Américains nomment "collatéraux". La coupe de la canne à sucre dans ces années là, et dans cette usine en particulière était  fait manuellement, une moyenne de neuf cents cinquante hommes se trouvaient sur la route; pour certains venant depuis TULUA, ayant sans doute quittez le lit, à la même heure que nous dressions les barricades.

Une petite parenthèse, les grandes raffineries comment MANUELITA. PROVIDENCE. EL CAUCA, doivent moudre en moyenne douze mille tonnes de canne par jour (dans les années 70-80 six jours sur sept), alors que RISARALDA arrive a moudre une moyenne de six mille tonnes jours, issues d'un peu plus de sept mille hectares de la valle du département du RISARALDA près de la municipalité de LA VIRGINIA.  Pour certains lecteurs à tendance "écologie" nous pouvons traduire que le département de la vallée du CAUCA vie à soixante pour cent du mono cultive de la canne a sucre, coté agriculture, l'industrie autre reste marginale, le café étant implanté dans les zones de moyenne montagne et l'autre source importante de devises; vous pouvez fermer la parenthèse.

VIII  Le souvenir d'une chemise

Pour faire transitions entre, l'histoire des fausses factures, arnaque gigantesque sur les consommateurs de la ville de CARTAGO  des années 80, nous pouvons rester dans le secteur du dit pont, les souvenirs du secteurs pour moi, restent nombreux, il n'y pas que les maisons dessus signalés, il y a une vrai tradition, alors que j'avais a peine huit ans, déjà les jeunes de dix huit et plus parlaient vivement depuis le vendredi du coin, restent les ruines d'une ancienne piscine (en Colombie le commerce des bains en piscine reste affaire libre du marché commerciale, non comment en France ou la ville en règle général mais au service de la communauté une piscine publique)  Reste une excellente source de revenu, dans un pays tropical que le commerce du bain en publique.

Un complexe disposant de piscines équipées, d'au moins une grande piste de dance, entouré d'un salons de consommation d'alcool est le commerce idéal, à vrai dire pas pendant la semaine; les colombine étant très travailleurs leur code du travail stipulant qu'il faut faire au moins quarante heures hebdomadaires, il reste a vrai dire pour les pauvres, que le samedi et le dimanche pour se saouler, je ne vais pas stigmatiser la Colombie pour autant.

Un pays par tradition agricole, reste un pays pas très intellectuel au sein des travailleurs, pour cueillir le café, il ne faut pas avoir un niveau quelconque d'études, d'ailleurs la bourgeoisie en joue là-dessus, pour garder une main d'œuvre sans laquelle la Colombie n'occuperait pas la troisième place mondiale en exportation de café.  Hors de question, une quelconque automatisation, le sol idéal pour la production du café, se trouvaient en pente d'un angle variable,  une étude pour une machine pourrait prendre au moins six ans, puis la mise au point, autres six ans.  Autant dire qu'il est plus rentable de payer "au kilo" la récolte manuelle.

Mais que ce qu'il vienne faire ici un sujet de récolte du café?  Les millions de petites mains, au travail, la semaine il faut bien qu'ils se défoulent un moment donné? Où? Pas dans des grands clubs, de bridge, de tennis, ou dans des tournois propices aux échanges même rudimentaires, au risque d'éveiller une quelconque conscience sociale.  Autant laisser libre la vente des boisons alcoolisées, les maisons closes et toute sorte de bar, bistro ou les quidams viennent dépenser par fois la totalité de leurs salaire, chose facile une fois, sans éducation, l'on se trouve au but de quelques bouteilles d'alcool à quarante degrés, ou de la bière à dix degrés, au beau milieu d'un lieu typique ( CANTINAS); autant dire que chaque ville ou village disposé d'un quartier à cette fin, en jargon là-bas de nominé "la zone" à traduire par une partie de la ville consacré au commerce de l'alcool, la prostitution et de nous jours lieu de commerce sans doute de produits illicites de renommé mondiale.

Nous avons squatté un but de terrain derrière l'école de filles du quartier, pas plus de seize mètres du coté sud, une chance pour nos tandis qu'à peine deux mètres de profondeur pour ceux de derrière les murs du couvent; là après des années de payer le loyer, mes parent ont finalement trouve dans un échange avec l'assemblé du quartier, un sénateur mal honnête, et les commises électoraux proches, nous avons ainsi construit une pièce de plus de dix mètres de large par quatre de fond, où nous avons déménagé depuis la rue de chez Martha, La depuis j'habité d'abord dans un taudis, voisin loué par une ami de ma mère, au fait une pièce de murs en terre d'une technique traditionnelle, avec quelques feuilles en tôle de faire galvanisée, nous étions là, plus aises, le loyer étant divisée par six ou dix,  dans vingt deux mètres carrés mes parents, mon frère et moi, nous vivions très bien tant qu'il ne pleuvait pas, car cela devenez difficile de supporter les diverses goutes qu'il fallait récolter dans des vaccines, surtout quand celles-ci venaient à manquer. En journée cette assez amusant, par contre en pleine nuit ça me plaisez nettement moins.  Mes parents disaient qu'il fallait faire ainsi pour économiser et pouvoir payer des matériaux pour la construction sur le terrain  du coté, un lotissement nous séparé du notre.

D'ailleurs, tous les week-end des gaillards venaient construire la maison, puis finalement cette maison, a été terminé et un bonjour en rentrant du lycée déjà déménagé, près de la garnison  de l'armée, j'ai eu une surprise, une petite dame très gentille et voyons voir: une, deux, trois,  quatre filles entre seize et disant vingt cinq ans, étaient avec.  Je ne me sentais pas très chaud au départ, elles étaient assez petites, quoi qu'au moins une celle de seize ans, me semble d'un visage assez jolie, puis l'autre, d'entre elles, la secondes en ordre de naissance, mais semble aussi assez bien, pas de quoi fouetter un chat au départ.

Le fait d'habiter dans le coin nous aurait valu connaissance, au point qu'un gentil monsieur, propriétaire d'une ferme de bétail, et café de la région, nous aurait loué une sorte de maison, c'est-à-dire un peu mieux, non loin de là, dans le quartier cette fois-ci, sur terrain légale.  Nous avons déménagé une énième fois.  Ma mère surtout me semble a gardé contacte avec ces voisins, nous avons du traverser un champ de pâturages, pour arriver à la maison en question, d'ailleurs elle se trouvé, sur le versant d'une colline et de ce fait nous avions depuis la court, une vue imprenable sur toute la zone, où par hasard une fois par an, tenez lieu des courses de moto cross, donc depuis le milieu de semaine des camping car, des participants et technicien se donnaient rendez-vous sur l'esplanade, les équipes techniques de la ville aménageaient les bosses et les flaques de boue.

Un terrain large comment six terrain de football  et long de trois terrains de football constitué cette petite vallée par le nord le quartier où nous venons d'aménager, par le sud et l'ouest des collines de moins de trois cents mètres de hauteur, puis par l'est les murs de l'école de filles, puis du couvent des religieuses vers le sud,  puis le petit canal d'eaux usées qui parfumé le tout!  Entre le canal et le mur bien sur le lotissement que le sénateur avait décidé d'offrir au tous ceux qu'auraient envie de voter pour son parti à CARTAGO,  La petite dame et ses filles entre tant sont restait très copines avec ma mère, mes sœurs d'ailleurs jouent avec les petites, soit chez nous ou chez elles.

Des année ainsi ont passé plusieurs courses de moto cross ont eu lieu, j'aimé beaucoup regarder depuis la cour confortablement assis, les essais, et déjà le vendredi j'avais bien identifié les favorites, par leur dextérité et surtout par une sorte d'absence de peur, je me disais que sauter en moto à plus de six mètres sur le sol reste une vrai folie.  Curieusement jamais je veux les secouristes s'occuper des blesses nécessitant une évacuation par exemple.  Les cylindrées en compétition étaient que 125,  250,  500 cc. Le  spectacle tait bien là, surtout un médecin de MANIZALES avec une HONDA 500 quatre temps, un mètre soixante de taille, pas plus de cinquante cinq kilos, mais une maîtrise reconnaissable de très loin.

Des millions de personnes vivent dans la misère, dans la détresse sans même s'en rendre compte.  Cela reste un univers naturelle, l'autre monde est celui des films, c'est un univers distant une autre galaxie en gros.  Marie Eugénie venez encore chez moi,  elle me plaisais bien plus que je le laissais voir, ses mensurations  86  58  96, avec son mètre soixante dix, sa peau cannelle et ces cheveu crépus éteint un gage indiscutable de plaisir pour moi.  Les années de sortie avec elle, sur la route d'ALCALA, au lieu dit "pierres à moudre"  (PIEDRA DE MOLER), restaient d'une certaine manière une sorte de journal de hier,  je me demande aujourd'hui si le comportement porté sur la drague et le reste n'est pas pour les latins de mon genre une manière semblable à l'alcoolisme, le tabagisme, la drogue de s'évader d'une réalité triste, noir, monotone, puis pour quoi pas injuste. Je mérite dans un analyse psychique de mon comportement (avec du recul, et de l'âge) d'être considéré comment un type égoïste, vaniteux, très désagréable vis-à-vis de la culture de nous jours dans ce beau pays de bourgogne et même au-delà. Dois-je m'expliquer? Ai-je des justifications ? sans doute mais une biographie ne peut pas être une enfilade de fait à charge ou à décharge.  Une biographie reste une narration de quotidien d'une personne pendant une période donnée. Marie Eugénie étant un chapitre de "ma vie" ici dans le souvenir de la chemise elle restera accessoire.

Un bon jour de noël, alors que nous avions déjà construit sur le terrain "généreusement"  octroyé par notre Sénateur, alors aussi que nous vivions déjà en couple avec la mère de mes enfants, pour des raisons que peut-être je vais décrire en quanti mini, je ne suis trouvé sur une moto  SUZUKI 185, accroché à ma ceinture ROSE,  cette petite au jolie visage, ayant aménagé avec ses sœurs et sa mère dans le "lotissement" voisin. Nous avons pris la rocade principal direction le nord de la ville, tout de suite après le pont, sur le flouve "La Vieille"  à droite il y avait un grille, et motel,  une chambre spartiate, ah oui tout de même, petite salle de bain, et toilettes, elle a voulu qui ait pas de lumière, assis au bord du lit nous avons échangé quelques mots au fait j'écouté plutôt des révélations: tous ces années, et avoir attendu jusqu'à maintenant, des éloges, sur un homme que je ne connaisse même pas, en tout cas, il semble bien qu'elle voulez parler d'un autre individu qu'elle voyez en moi,  elle ne connaisse d'après ces révélations absolument rien de moi; dois-je brosser le tableau idyllique de cette voisine sur moi?  Par pudeur je ne voudrais pas trop!  J'avais à ses yeux, l'air très réservé, très timide, très gentil, pas un alcoolique, pas un fumeur, encore moins consommateur des produit illicites, étudiant appliqué, niveau universitaire, pour les grandes traits de ma personne.  Pour le physique autant dire qu'elle trouvé en moi un acteur de cinéma.  Je sais de nous jours qu'en plusieurs choses elle avait raison, mais en bien d'autres elle nagé dans l'ignorance de mon caractère et se trompait sur ma physionomie.

Un accident de moto,  a valu à sa sœur AMAILA "la plus belle et petite" un plâtre à la jambe pendant plusieurs mois, entre mon travail de matin et l'université de nuit, j'avais très peu du temps pour draguer pendant quelques années, cette époque là, aurait fait de moi un vrai moine ou ermite, pour tant chaste par obligation ou charge de travail.  Il faut admettre que je vivais déjà avec la mère de mes filles, donc coté vie privée j'avais le niveau d'épanouissement garanti et même d'avantage. C'est années là pour les sœurs auraient fait pousser une sorte d'image de moi, distante pour tant de mes désirs sans la moindre doute.  Nombre de fois je pris en chahutant sa sœurs AMALIA dans mes bras, sous l'excuse "sincère dans mon intention" de l'aider soit à venir chez ma mère ou retourner chez elle.  Un acte de ma part sans la moindre double intention.  Dans cette sorte d'amalgame, dans laquelle mon libido sans doute anéanti par mes activités, aurait laisse passer de tas d'opportunités est né cette image fausse de moi, un agneau ou lieu d'un tigre?  Le temps et notre relation intime en progressant lui à fournie une autre image bien différente au point que plusieurs fois, lorsque je me suis trouve seul chez mes parents, à la moindre opportunité même en prenant des risques insensées nous avons mis en pratique des répétitions de cette première sortie.  De cette amie il me reste de nous jours une chemise, que sans doute vu mon poids ne me rentre plus. Mais que je garderai toujours en souvenir de  d'une belle Rose.

IX Les syndicats en Colombie (suite du III)

En faisant la queue hebdomadaire pour récupérer mon salaire alors que je meublé mon temps, en lisant les tableau syndicaux, adossés aux mur, mauvais que j'ai toujours resté en orthographie,  j'ai trouvé des fautes grossières de grammaire et orthographe, puis le temps fait son chemin, je voulu participer avec mes modestes moyens au syndicat (il y a dans la vie, plusieurs genres de syndicats, en tout cas en Colombie, le syndicat ouvrier, celui qui n'a pas des moyens et le syndicat patronal)  en espèce il s'agissait du syndicat ouvrière, très mal perçu sur le plan d'une carrière professionnelle.  Mais voilà que j'ai tapez à la porte du syndicat ouvrier donc, et j'ai participé en tant que possible à la rédaction des informations à publier; j'ai alors comprise, la misère, intellectuelle et par fois le pouvoir hautement nocif de l'ignorance, comment pierre angulaire de la domination et même la clé de la servitude.  Il est vrai que rédiger un document pour simple qu'il y parait devienne une prouesse du moment que l'on n''a jamais eu de l'éducation, ou a peine ayant fait un ou deux années d'école primaire.

Aujourd'hui presque trente années plus tard j'y comprends mieux encore, imaginez-vous, dans un autre pays avec une langue que vous semblé maîtriser mais que vous ne savait pas écrire. Un exemple, à l'instant même si vous me demander d'écrire le mot cheveu, je suis dans l'incapacité de connaître son écriture, car il y a un animal qui s'écrit en homonyme avec la partie capillaire de la tête humaine. Mes camarades bien que nés en Colombie, parlant tous les jours la langue n'avaient pas la moindre notion de grammaire et moins d'orthographie, par contre une volonté grande comment les montagnes tout ou tour, deux cordillères qu'entouraient la vallée du RISARALDA, dans la localité de LA VIRGINIA,  des hommes courageux, ayant pour certains quittez leurs domicile alors que le commun des mortels dorme à moitié de sa nuit, ayant coupé entre le matin et le midi, entre huit à dix tonnes de canne à sucre, ayant le courage d'aller dans un local syndical par la suite pour s'informer ou prendre des décisions de grande importance.  Au risque pour les plus virulents de se faire tuer comme des vulgaires lapins. Par les forces secrètes du DAS ou du F2.  Avoir en plus le courage de rire et faire des blagues! Dans une vie vue de l'extérieur sûrement normale.

J'ai pense à mon professeur de philosophie, le bon, l'intellectuel, et quelques années plus tard réduit à occuper un bureau exiguë dans un service sociale de formation pour adultes du SENA (Service National d'Apprentissage) isolé complètement de sa passion première l'éducation.  Sa fauté étant celle d'initier les élèves dans la compréhension des misères de la société.

Le fait d'avoir des membres de la famille de coté de mon père dans la police, puis deux ou trois amis d'enfance, que j'avais oublié depuis (nous avions partagé des classes en primaire), me donnait une sorte de sauve-conduit, par information fragmentaire, sur certains faits inscrits dans la programmation des activités officiels, à la mort de mon parrain, j'ai perdu un support logistique et d'information supérieur à mes autres sources, et j'ai décidé de m'éclipser, six mois durant j'ai vécu dans l'Amazonie colombienne, j'ai quittais mon poste dans la sécurité et hygiène à la raffinerie INGENIO RISARALDA S.A.  Puis le mois d'octobre j'ai eu des échos sur une possibilité de partir à l'extérieur.  Le choix le plus plausible concerne les USA où habitent deux cousins de mon père près à me recevoir, le choix moins évident était l'Europe, en particulier la France.  Ma conscience anti impérialisme  ma fait vite pencher pour la France.

X L'intérêt et la mort

De manière intrinsèque, l'échange ou consommation est impliqué dans tout acte humain.  Un concept abstrait exposé par écrit risque d'être perçu avec aversion. Ce texte ne fait pas l'exception.

Alors qu'elle est mon but?

Oser vous taquiner ? Trop naïf pour croire à un grand succès de librairie ? J'ai un but en écrivant ce-cci. Bien qu'il y a du témoignage apparemment vous allez nager entre la turbulence du roman et les passions de la fiction.

Je veux au même titre qu'un miroir, dans votre salle de bain, vous apporter sous forme de reflex, tout un ensemble de souvenirs; bouillonnant dans ma conscience, sur des personnes pour qui l'intérêt général de la société passait avant leur propre vie. Pour tant pour d'autres comme moi, de ce côté-ci du miroir, cet-à-dire dans une piste où dansent sin fin, virilité, nymphomanie sur un air de musique séditieuse dans l'eternel printemps des épicuriens. Pourrions-nous sortir ainsi soit un instant de la mer de la mythomanie où nous sommes près à admettre que les problèmes du monde ne nous regardent pas ?

La mort, je l'ai eu en face plusieurs fois, elle a failli me faire mouiller mon pantalon.

Deux heures du matin, Le fourgon de police arrêta d'un long grincement des pneus, sur le revêtement de la grande place de la station des trains. Juste en face adosse au mur de trois mètres de haut, de la cour de marchandises, des semblants de baraques à frittes, autant vétustes qu'austères, de haut de la naïveté de mes seize ans, do à la route je me suis laissé surprendre. Alors qu'une bonne douzaine de paroissiens furtifs se sont évaporé aussi vite que l'éclaire.

C'est très cher payer, mon premier contrôle de police, une violence jusqu'à là seul vu dans les films, plus de cinq policier m'ont fait cette fois-ci vivre à travers de coups avec leurs lourdes bottes : lors de l'écartement des jambes, chaussé en tennis déjà cela intimide.  Puis au moins un bouton de ma chemise saute sous ma gorge par la force d'une main qui par derrière aurait tirez le col de ma chemise. Il s'en suit une série de coups de bottes et de crosse de carabine. Pour finir avec la traversée de la place en marchand mains dans la nuque et l'ordre d'avancer à genoux plié est donnée.  Curieusement le sang semblait prendre là place de l'air dans mes poumons mais aussi saturer ma raison. La peur commença à laisser la place à la haine. Une sorte de répulsion si forte que la douleur semble disparaître.

D'humain il ne me resta, à ce moment, ni la forme car je ne marchais plus comment un homo erectus. Le temps fait son ouvre, j'ai réussi à travailler pour mon tortionnaire, le responsable de l'équipe de cette nuit, un Sargent dans une taverne, à l'occasion il ne même pas payé le dernier mois. Le vaillant official a fini ses jours assis dans la salle d'un Bordel traversé par une lame de quarante centimètres de long, laquelle à traversée d'abord le dossier de sa chaise et sortie a peine à deux centimètres à gauche de son sternum, entre la sixième et la septième vertèbre dorsale. Sectionnant au passage une artère pulmonaire.

D'après les commentaires nombreux de la rue, parmi les délinquants, les syndicaux, et tant d'autres civiles, difficile de lui trouver un seul ennemie, mais des milliers, une mort sans grand deuil, personne aurait identifié l'assassin, ô combien d'orphelins, combien de veuves, ont sans doute dit "grâce à Dieu" alors que le saigneur si grand qu'il est dans les cieux n'était pour rien!

X Les femmes d'une autre culture

Quand je suis arrivé en 1988, en Europe, puis dans le pays de Molière, j'ai du très vite m'habituer aux coutumes, l'habitude de dire des phrases pour une colombienne flatteuses, puis surtout de le dire à la première fille qui je croise, ma valu en peu de jours, là où je suis arrivé, beaucoup d'insultes; je ne comprenez pas, mais alors pas de tout au départ, je me demandé si les filles étaient levez du pied gauche ce matin là.

Les mois de décembre et janvier, je du payer 600 francs moi une chambre de bonne en face de la place de Mexique, sur l'avenue qui va à la place de Trocadéro,  juste en face de la pharmacie, là-bas resterons deux grandes balises avec de vêtements que j'avais emmené de la Colombie.  Un exemple simple je vais traduire une phrase courante que l'on dit en Colombie aux filles  " Hum si comme vous marchez, vous fêtez à manger je vais même gratter la marmite" (littérairement si comme vous marchait vous cuisinez je mangerai même la croute)

La phrase en espagnol pour ceux qui veulent en parler "SI COMO CAMINA COSINA ME LE COMO HASTA EL PEGAO" et bien je me suis fais traiter de tous les noms pour dire cela à des jolies filles du secteur.  A point que j'admets, m'avoir senti très frustré ces mois là. Puis la raison prend les dessus, je me suis dit, puisqu'elles semblent très intellectuelles les femmes ici, alors voilà je vais la jouer autre mot. Mais cela après revenons à ce noël là.

29 décembre 2007

A la mémoire de madame Bhutto

tropbienLe fait d'accuser de suite une organisation terroriste international que je ne vais pas citer. Curieusement me rappelle l'accusation faite lors des attentats de Madrid de la part du gouvernement sur une organisation séparatiste (que je ne vais pas citer non plus)

Je crois que le TPI doit s'intéresser très vite à rechercher l'auteur intellectuel d'un tel crime, les auteurs matériels étant facile à trouver parmi, les services secret pakistanais. J'ai l'intime conviction que monsieur Pervez Mousharraf, n'est se trouve pas très loin dans la liste de commanditaires, je souhait que le Gouvernement Bush, ne face pas obstruction au bon déroulement de la justice.tropbien

24 décembre 2007

LA VIOLENCE VUE D'UN AUTRE ANGLE

genocide_in_rwanda_1 foto du Rwanda

Par : gramophone (Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ)

Violence

Dans une société saine c'est un fléau à éradiquer avec la même ferveur qu'en 325 déjà Clovis et la Gaule se sont attaqué à Arius prêtre d'Alexandrie.

La société dite des "humanistes" doit rompre l'armistice tacite signé avec la plume de l'indifférence sur le parchemin de l'égoïsme; par lequel chacun se jure de jamais s'intéresser à d'autres mais qu'à sa personne ou tout au plus à sa progéniture.

Un tel raisonnement au-delà de désolant et inique reste le fondement de la misère. De longues années, j'ai tourné dans ma tête, les hypothèses, les postulats, toujours à la recherche de la cause ultime de la misère, j'en ai trouvé plusieurs mais celle-ci me semble la plus profondément ancré dans les mœurs, je vais donc aller dans un sens contraire à la liturgie forgé dans l'hypothalamus de l'espèce qui se dit "humaine".

Les mœurs sont ici, bien qu'un legs pas une composante génétique, donc des acquis hautement nuisibles à l'harmonie pilier incontournable de la pérennité de la vie de l'homo sapiens sur terre.

Il y a dans les phénomènes, des facteurs ou causes, en suivant la méthode de Pascal ou de Descartes, nous pouvons comprendre, dans la pensée de ces années là, (pollué par des préceptes religieux) une conviction pouvant confirmer que grâce aux dérives dans le loisir, les médiats et la gamme de produits de consommation courante à niveau notamment des jeux de dernier crie; le comportement sociale est modelé progressivement de manière subliminale au point de le submerger dans l'égoïsme à outrance:

Dans la conception même de ces jeux là, l'individu est mis en exergue, la liste d'atteintes à la bonne éducation d'un citoyen sociale étant si baste, leur énumération ferait l'objet d'un livre entier (N'étant pas écrivain) d'ailleurs il y a le fort risque d'omettre la plus part.

D'un geste anodin aux actes d'épuration ethnique

La ségrégation ethnique une règle sournoise dans tant des établissements et autres lieux de loisir, même à caractère publique; des employés de Mairie, des HLM, etc., où c'est un geste commun et banal, presque pour "flatter son égo", sans même mesurer par fois la portée ou signification aberrante.

Cette ségrégation est pour tant le premier pas à travers la banalisation déjà infesté de violence, vers une étape supérieur, qui se traduit sans peur de l'affirmer par les plus sombres et honteux moments de l'histoire. Il y a une force inéluctable dans le geste, par la somme de dossier qu'une personne traite dans une longue période. Il y a nécessairement aussi de la brutalité dans la mesure où il reste grossier, croire que les êtres humains peuvent se classer par "races". Ces gestes en apparence "banales" ne se trouvent qu'un pas des actes répugnants pour tant, d'épuration ethnique, des méfaits en déshonneur de l'histoire d'une société dite des "êtres humains"

Je m'insurge donc, de manière radicale à toute idée de "race" qui commence par des tentatives de banaliser tant des pratiques qui se ressemblent dans une apparente naïveté.

Extrait d'un essai d'éthique dédié avec admiration à une amie Carine GEERTS passionné d'écriture et disposant de beaucoup de talent

18 décembre 2007

SUIS-JE UN ZOMBIE?

Discours de la méthode : Les ombres d'une espèce jadis appelé homo sapiens

zombie

Régulièrement je me pose la question sur la manière de présenter au grand publique non pas un document parmi de milliers, non pas un pamphlet, mais un véritable message.

La publicité représente bien plus qu'un métier, bien plus que le chiffre d'affaires, colossale, un élément propre à la culture.

Faire passer un message, une idée, par la simple volonté, d'un individu, reste une utopie; pour tant les faits, les études scientifiques existants.

Dans d'autres termes nous sommes conscients, mais nous avons tendance à nous voiler la face; dans tout genre de situation, du moment que celle-ci, touche de prêt au de loin, à la société.

Pour tant la société reste la composants ou somme des "citoyens, individus".

La société de consommation, le pouvoir d'achat, sont des sujets qui ne semblent pas atteindre notre subconscient.

Je cherche à élucider, le ou les causes de cette appréhension récalcitrante du commun d'entre nous.

Il est indéniable, que l'ensemble de la société des pays "en voies d'appauvrissement", se trouve satisfaite d'un confort relatif vis-à-vis des pays que je vais dénommer en antagonisme naturelle "pays en voie de modernisation".

Voyons-nous ?

Changement vertigineux qui s'opère au quotidien au quel nous sommes dans l'obligation apparente d'approuver sans nécessairement le connaître vu le volume; persiste en détriment direct d'une satisfaction que mécaniquement se réduit comment flaque d'au au soleil.

La vérité et ses conséquences

La vérité des difficultés, d'un monde en agitation perpétuelle, me semble disponible dans les documents scientifiques, dans les journaux spécialises de la finance et l'économie, dans les magazines sur l'environnement et l'écologie, etc., l'information est disponible pour tant que pour une élite, car disposer d'un accès à la toile mondiale reste encore confidentiel vis-à-vis du nombre d'habitants de la planète.

Une conséquence est que l'information se camoufle avec l'assentiment du grand public (minorité privilégié ayant connaissance)

Ma responsabilité civile

En matière d'éthique, vis-à-vis de l'histoire, il est indigne que de se positionner en observateur immuable, moi le premier lorsqu'un médiat, présent un sujet en allusion à l'environnement, j'ai le reflexe de saper.

Il y a là, un fait, un comportement humain caractérisé, dans l'espèce, la volonté manifeste d'éviter d'aborder ne serez que l'idée d'admettre; une infime part de responsabilité dans la société de consommation, en tant que individu et citoyen donc partie intégrante.

Voilà la raison: l'autisme

Nous, les habitants de la planète terre nous sommes autistes, mais est-ce une maladie ou un handicap? Disant qu'il y a en nous une partie génétique qui est manipulé en suite, par l'environnement. La partie génétique veut que l'instinct de survie gagne face à la passivité, une sorte d'homéostasie fonctionnelle, la partie instinctive saurait en quelque sorte dopé; la différence de potentiel d'une énergie supérieur présente dans les médiat, dans le modus vivendi, et surtout dans la culture de l'individualisme prôné par le système. Et imposé subrepticement dans les bancs des écoles, collèges, lycées et par fois dans les Universités. Dans la course aux mérites remarquablement illustré par le professeur Oliver IHL dans son livre "Le mérite et la République" ou encore la grand question d'Etienne de La Boétie, dans sa pensée, ô! Cette main invisible d'Adams Smith!

La servilité

Le résultat est une population écervelé, des zombies, même pas l'ombre des humains avec de l'instinct de survie.

C'est ce que je suis en fait?

Elle est où mon intuition ?

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18 décembre 2007

Fausse Augmentation du pouvoir d'achat

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Par Gramophone (Nestor Elias Ramirez Jimenez)

Joigny mardi 18 décembre 2007

O les gueux!

Pouvons-nous aborder, des phénomènes comme le paupérisme français?

Attention, une supposée modification de la rémunération, qu'affaibli au passage la législation du travail. Déjà faire usage de la phrase "les négociations serons mènes entre les travailleurs et leurs patrons, au cas par cas" est une énorme hypocrisie. Car dans l'espèce c'est au cas par cas que les chefs d'entreprise imposent aux travailleurs leur interprétation d'une législation qui supprime d'office la médiation syndicale, qu'au passage il faut signaler; dans le privé n'est que de 10% à 15%.

C'est une mesure de plus, qui favorise directement les bas salaires, phénomène depuis de longs années (tous gouvernements confondus) qui à par conséquence directe la baisse du pouvoir d'achat.

Vu globalement, depuis des années les mesures en faveur des bas salaires font progresser de manière exponentiels ce genre de salaire, cela à l'échelle de la nation se traduit par nécessairement par la baise du pouvoir d'achat.

Fausse augmentation du pouvoir d'achat.

Noël étant proche, les salariés, dans une sorte d'effet placebo, sans le moindre recul (dans des négociations au cas par cas) vont s'engouffrer en la mesure de la capacité de trésorerie des entreprises, dans l'option de monnayage des RTT et heures supplémentaires. Le salaire ainsi n'aura pas augmenté alors que les quelques cents gagnés par le salarié donne la fausse impression d'avoir gagné plus! Ors par la suite la loi imposer un contingent annualisé qui permet au patronat d'imposer un nombre d'heures aux ouvriers. L'argent de trésorerie transféré ainsi est nécessairement de l'argent en mois dans les négociations pour l'année qu'arrive. En fin de compte c'est une mesure qui à un coup infime face à l'effet publicitaire; les ignares quidams sauraient sans le moindre doute très satisfaits, d'avoir perdu et les nantis aurons une fois de plus gagné.

17 décembre 2007

Quand le ridicule dépasse la réalité d'une société civilisée

Par : Gramophone (Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ)

Date: lundi 17 décembre 2007

lieu : Joigny dans Yonne 89300

C'est quoi le rôle du journaliste?

C'est quoi la réalité sociale de la France?

C'est dommage autant de kyrielle; dans les médiats les litanies, la une des journaux comment des chapelets, le publique égraine une à une, Comment les images d'un clown qui s'amuse à danser dans toute circonstance.

c'est ça que le publique convoite?

Je ne serais pas si sur, d'autant de sinécure et de cynisme, car les médiats ouvrent en grotesque concert comment un seul vassal, d'un être que d'intelligence possède celle d'un polichinelle; puisqu'il ose prendre les habitants de France pour un troupeau écervelés caducs, basait sur des sondages d'audience des sitcoms et autres reality-show.

Il faut dire qu'il ne pas loin le futé, mais c'est au peuple il me semble de prouver le contraire?

3 novembre 2007

Actualité sur Ingrid Betancourt

Document "son" original propriété de RCN Radio Cadena Nacional de Colombia(en espagnol) de puis Caracas de la journaliste Claudia Andrade :

http://media.rcn.com.co/rcn/audios/avenezuela1.mp3

Traduction au Français de votre serviteur "gramophone"

Nestor Elias Ramirez Jimenez

Joigny le samedi 3 de novembre 2007 à 20:00

Expectative en Venezuela pour la réunion "Chavez – Granda"

Voix de Claudia Andrade:

Les médiats vénézuélien soulignent que le Président Chavez aurait une réunion aujourd'hui avec le chancelier des FARC Rodrigo Granda dans l'état de Barinas, les journaux soulignent que finalement saurait Granda qui servirait de médiateur ante la FARC pour une échange d'otages; une partie des médiat vénézuélien que tout est disposé pour un rapprochement avec les subversives colombiens , il est signalé aussi que le Président Chavez pourrais aussi avec la Sénatrice colombienne Piedad Cordoba dans une ferme de l'ex-ministre de l'intérieur vénézuélien Ramon Rodriguez Chaci, déjà connu pour ces relation sécrètes avec les FARC.

De cette réunion sortiraient les grandes lignes et les détails d'un possible accord humanitaire.

31 octobre 2007

De Cro-Magnon au web

Linguistique et littérature

Littérature et Internet

Joigny (France) le mercredi 31 octobre 2007

Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ (gramophone)

Histoire

La littérature est un terme qui couvre par extension l'ensemble d'écrits. Une partie des arts aurait tendance à s'approprier arbitrairement de la signification du terme, avec des conséquences positives dans l'anoblissement d'une partie des écrits.

La lettre en tant que signe, garde pour tant dans sa construction et sa forme ou sémiotique une similitude à travers le temps

La lettre nous rappelle que déjà entre 35 000 et 10 000 ans avant nous jours, voir même vers le Neandertal, l'homme intégré déjà à son quotidien, le geste d'imprégner sur un support de signes avec diverses intentions: religieuses? Exotériques ? Ou artistiques ?

Je me demande même, si les signes non verbaux, non pas existé bien avant la langue comment aptitude physique à communiquer.

Voilà le terme clé qui reste d'actualité "communiquer" car quelque soit l'outil, le temps ou la civilisation, nous sommes bien d'accord sur la finalité.

Je ne vais pas m'introduire dans les particularités d'une langue, et moins encore dans la langue française, étant donne que je suis un ignare en ce domaine.

Nous pouvons conclure, que l'homme a tendance à vouloir imprégner un support de sa vision contradictoire certainement mais personnelle sans doute de son milieu. Par la suite les techniques changent, voilà pour quoi de nous jours Internet reste un phénomène, une mode.

La science comment véhicule de démocratisation

Les technologies, quelque soit l'époque, sont un instrument de vulgarisation. Avec toutes les conséquences que cela comporte: pour le meilleur et pour le pire.

Il est fort probable que l'homme des cavernes aurait était le premier graphiste à sa manière, avec les techniques de son époque.

Je revienne à Cro-Magnon puisque dans les grottes de Lascaux, puis Altamira, puis nous avançons dans le temps, chaque empire disposant d'une écriture plus ou moins propre.

A mesure que le temps passe, le support se modernise, l'Egypte l'écorce d'un arbre pour leur hiéroglyphes; c'est le papyrus puis le parchemin; sans oublier que c'est en chine que l'encre et l'écriture se développe avant de faire irruption en occident.

Nous devons à Gutenberg long temps après (1440 de nous jours) la typographie. C'est un grand saut vers la démocratisation des textes.

Jusqu'à là, d'abord les scribes, puis surtout la religion avait le monopole de l'écriture du fait cette forme de lecture de nous jours accessible à tous, était qu'un privilège autant que la banalité de nous jours, de lire!

Curieusement, Gutenberg ouvre grand la porte de la connaissance, je dirai même que l'essor pris par les sciences le doit beaucoup. Vous vous en doutez, que la religion du fait perd vertigineusement son pouvoir. Dans la bibliothèque nationale vous pourriez trouver un livre intitulé "ENCYCLOPEDIE du DICTIONNARE RAISONNE DES SCIENCES, des Arts et des Métiers" je dois avouer que rien que le titre en dit long sur le ras le bol des messieurs Diderot et Le Rond, (1750 à 1772) de l'hégémonie des préceptes "sacrés" sans fondements sur la science en générale.

L'histoire de la lithographie, l'impression, "line of type" impression rotative, "offset" pour arriver au "Personnel Computer" (pc) notre cher ordinateur en couple avec la "World Wide Web" nous traduisons "la toile mondiale".

De nous jours le coupe (pc + www) apportent à la littérature l'équivalent des grands pas dans l'évolution de l'écriture comment fut celui apporté par Gutenberg, Latham Sholes, Koenig, Hoe ou Marinoni en France.

Cette tendance à la démocratisation rend à la porte du plus large publique, non seul la lecture mais encore mieux l'écriture.

C'est un apport qui bouleverse, radicalement surtout la qualité du contenu littéraire.  Du moment où tout le monde dispose de la possibilité de faire publique son opinion. Toute notion gagne par extension dans sa signification.

Les risques de démystification de nombre de connaissances sont grands, le savoir risque aussi d'être travesti en détriment de la réalité. La notion de vérité demande d'un esprit très critique.

En fin, la connaissance, et son application ne sont finalement pas à la porté de tout le monde: pour des raisons de niveau de connaissances de chacun par exemple, la barrière de la langue, la barrière du développement etc.

Internet et ses produits surgi ici comment une alternative au livre, cela implique concurrence, mais il est trop top encore pour conclure que le livre soit perdant dans un face à face, que d'ailleurs n'à nullement raison d'y être.

28 octobre 2007

A mon Beaufrère

Il est courant d'écouter ici et là, des critiques sévères sur les syndicats.

                           

Ces critiques, n'ont pas de fondements, et sont véhiculés par des personnes qu'ignorent tout de l'histoire en général et de l'évolution du monde de travail en particulier.

Comment dans toute organisation formée par des êtres humains, l'univers syndical, doit avoir des personnes qui n'ont pas leur place dans le milieu de la défense des droits des travailleurs.

Je crois par contre que dans la tension qui règne dans le monde du travail, il est indispensable des instances qui ont leur place dans la recherche de la justice et l'équilibre permettant une connivence forcé.

C'est quoi un lien?

Dans l'univers du web ou encore www pour World wide web ou plus facile Internet, il y une toile géante constitué de tout sort de documents: documents en lettres, en images, en vidéos.

Pour accéder à ces millions de documents une adresse est nécessaire de la même manière qu'une adresse physique reste nécessaire pour rejoindre une personne physique.

Une fois cette adresse disponible dans un document elle s'appelle lien qui veut dire que d'un clic de la souris vous avez accès au site ou la page en question:

http://www.fileane.com/quitter_systeme/tarif_ou_mort.htm

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