Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Élucubrations
Élucubrations
Publicité
14 août 2014

Définition de néo-libéralisme

Définition de néo-libéralisme ou le chien qui courait derrière sa queue



FABLE

par Nestor Elias Ramirez Jimenez

joigny mercredi 28 janvier 2009

 

Mes plus sincères excuses pour la qualité du texte car le français n'est pas ma langue maternelle.

Dans un exemple criant de vérité; nous pouvons parler de consommation.

L'économie mondiale est comme un très long train. (Dans un but pédagogique a fin d'être compris par les enfants). Le train compté 10 wagons : les wagons de première classé étaient en nombre de deux et les wagons de deuxième classé étaient huit.

La première classe se trouve toujours à 3/4 vide, la deuxième, est à ¾ pleine. 

Pourtant le tarif en première classe est le double voir plus par rapport à la deuxième (normale il y avait bar, restaurant et même des toilettes). Alors que le train gagne plus d'argent avec les billets de deuxième classe.

Notre train circulait au quotidien entre les pyramides de Gizeh et le temple d'Artémis à Éphèse; il passait par le phare d'Alexandrie puis en route il était possible d'admirer: le Mausolée d'Halicarnasse, les jardins suspendus de Babylone et le colosse de Rhodes.

Avec les années, le train était de moins en moins pris, par les passager de première classe, au point qu'un jour la société d'exploitation, craignant devoir affronter une crise; (
étant donné que les nantis et intellectuels, ne s’intéressaient plus à la magnificence du voyage) à commençait à diviser la propriété du train (une sorte de cotation en bourse) à mesure que des riches commerçant achetaient parti du capital:

-
"ce n'est pas les ignares, gueux et béotiens qui vont continuer à l'emprunter"

Dit un savant et prix Nobel d'économie de l'époque, membre du conseil d'administration de la société.

En quelques années, les nantis antan fidèles au train; commencent à faire usage de leurs économies pour voyager dans leur calèches (
très modernes, sans point de cheveux, mais de puissantes et bruyantes machines, dotes d'un confort jamais atteint dans les autres pays du monde). 

Les bourgeois en question, décident de racheter, chacun une partie de la propriété du train. 

Les années passant, nombre de commerçants utilisateurs quotidiens du train, pour d'autres besoins que pour le tourisme et la contemplation; (
pour aller d'une ville à l'autre dans leur travail de chaque jour) ont emboîté le pas aux riches, voyant les dividendes, "l'excellente rentabilité".

Cela à été le coup de grâce à la fréquentation du train quotidien entre pyramides de Gizeh et le temple d'Artémis à Éphèse, à la fin de la période; aveuglés par l'ambition, même les gueux avaient devenus des notables actionnaires du somptueux train "Gizeh Éphèse".

Alors 8 wagons devenaient de trop, des années plus tard ils ne restaient plus que deux. Même à quatre wagons le train "Gizeh Éphèse" n'avait plus que ¼ de sa capacité utilisée, puis de moins en moins, la première classe fut supprimée, malgré quoi la fréquentation ne faisait que diminuer.

Aujourd'hui, "
d'un si splendide train", il reste, quelque par dans un cimentier des trains, à peine des vestiges, les milliers personnes qui travaillaient pour son prestige, ont devenu moins que des gueux, les nantis eux ont flairait à l'avant le coup et le roi (les banques centrales) leur auraient même aidé financièrement en guise de dédommagement et vivent dans un pays lointain, dans des palais dignes des rois.



Les anciens usagers de deuxième classe, ont perdu leurs économies, et doivent reprendre bientôt des calèches et des chariots avec des vrais cheveux pour ceux qu'encore le peuvent, les autres marchent à pieds… voilà le texte d'un ignare d'un illettré, c'est bien le cas, car je n'ai pas eu la chance de fréquenter l'école de Charlemagne.

Je vous laisse le soin d'adopter une moralité…


Mes excuses les plus sincères pour l'illisibilité du texte, car je ne sais pas écrire avec cette si belle langue de Voltaire, Molière et tant des grands hommes qui signifient la grandeur de la langue et la pensée françaises.

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité