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Élucubrations
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14 août 2014

la recepte de guérison des maux de la société

Diagnostique ; Maladie ; Guérison : Un cycle où le temps imparti doit être scrupuleusement respecté.

recette de guérison des maux de la société

 

Voilà donc ce que j'avais à vous dire, je ne sais pas m'exprimer en Français je suis colombien, ma langue maternelle est l'espagnol ; et même si j'aime votre langue je suis sur d'avoir fait des grosses fautes. Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ ou gramophone, jeudi 14 août 2014

1° Diagnostique

À travers de blogs, de forums, de réseaux sociaux, nous sommes combien à nous intéresser à la sociologie, l'économie, la politique ?

Au passage, nous n'allons pas de main morte, dans nous critiques, les unes plus avisées que les autres. Moi le premier j'admets avoir démarré déjà plusieurs blogs, dans ce but là et je suis présent sur les réseaux sociaux plus ou moins pour les mêmes raisons.

C'est positif et réconfortant aussi trouver des textes qui sont écris presque comment si ça été nous mêmes qui aurions écrit. Seul danger, cette sorte de consanguinité intellectuelle, qui à force risque de rendre stérile notre discernement.

Je suis loin de vouloir minimiser la véhémence de chacun pour assumer ses convictions ici et là. Nous pourrions donc chercher "ensemble" un terrain, commun pour éditer une sorte de diagnostique. (c'est mon humble avis) ; chacun en prenant le temps de lire les autres, et d'apporter sont grain de sable à l’édifice.

En-fait il me semble qu'il faut au moins admettre qu'il y a un temps pour chaque chose, et que nous critiques, nos opinions, quel qu’elles soient, bonnes au mauvaises, devrons être mise but à but, mais avec un objectif commun majeur ; nous ne pouvons continuer dans le temps du diagnostique sans passer à l'étape suivante. Cela me semble logique, nous ne pouvons non plus avoir peur d'intégrer une autre dimension, qui de toutes manières ne sera que plus bénéfique que rester derrière notre écran à émettre des diagnostiques...

2° La maladie

Je ne vais pas abuser et là décrire, je ne vais pas prendre la grosse tête, ni de la grandiloquence, ni de la pédanterie ; bien que pendant presque dix années sur le pseudonyme de "gramophone" puis d'autres pseudonymes j'ai rempli la toile de sujets dédies à l'économie politique, la sociologie, etc., non il faut être modestes, humbles, et comprendre que nous sommes face à des gens comment nous, et par fois sans doute beaucoup plus illustres !

La maladie doit être souligné, par vous, et je veux bien aller lire vos sujets, vos blogs, vos forums, etc., où vous aurait fini par énoncer cette maladie de la société. Pour quoi pas un cancer, pour quoi pas une grippe, voir une anémie aiguë de notre société, voir plusieurs maladies, attention à ne pas tomber dans le piège, et conclure trop vite sur un symptôme, prenez votre temps.

3° Guérison

Si nous avons trouvé, la maladie, c'est un jeux d'enfants la guérison ? Non à nous de chercher, d'échanger, de peaufiner cette solution, sans doute à plusieurs nous y arriverons ; elle sera bonne dans la mesure où la majorité (en démocratie) approuve ! Voilà donc ce que j'avais à vous dire...

 

https://twitter.com/gramophonefr

 

http://actualite.forumpro.fr/t60-economie-politique-et-subvention#136

 

Plus de 120 000 visites sur deux sujets sous le pseudonyme "gramophone" (lien pour la racin d'un forum sans modifier le compteur)

 

http://foros.periodistadigital.com/viewforum.php?f=25&sid=ae86feaa6b574564f2571e4594cd4c63

 

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Commentaires
N
Le chien qui courait derrière sa queue <br /> <br /> <br /> <br /> FABLE <br /> <br /> par Nestor Elias Ramirez Jimenez<br /> <br /> joigny mercredi 28 janvier 2009 <br /> <br />   <br /> <br /> Mes plus sincères excuses pour la qualité du texte car le français n'est pas ma langue maternelle.<br /> <br /> <br /> <br /> Dans un exemple criant de vérité; nous pouvons parler de consommation.<br /> <br /> <br /> <br /> L'économie mondiale est comme un très long train. (Dans un but pédagogique a fin d'être compris par les enfants). Le train compté 10 wagons : les wagons de première classé étaient en nombre de deux et les wagons de deuxième classé étaient huit.<br /> <br /> <br /> <br /> La première classe se trouve toujours à 3/4 vide, la deuxième, est à ¾ pleine. <br /> <br /> <br /> <br /> Pourtant le tarif en première classe est le double voir plus par rapport à la deuxième (normale il y avait bar, restaurant et même des toilettes). Alors que le train gagne plus d'argent avec les billets de deuxième classe.<br /> <br /> <br /> <br /> Notre train circulait au quotidien entre les pyramides de Gizeh et le temple d'Artémis à Éphèse; il passait par le phare d'Alexandrie puis en route il était possible d'admirer: le Mausolée d'Halicarnasse, les jardins suspendus de Babylone et le colosse de Rhodes.<br /> <br /> <br /> <br /> Avec les années, le train était de moins en moins pris, par les passager de première classe, au point qu'un jour la société d'exploitation, craignant devoir affronter une crise; (étant donné que les nantis et intellectuels, ne s’intéressaient plus à la magnificence du voyage) à commençait à diviser la propriété du train (une sorte de cotation en bourse) à mesure que des riches commerçant achetaient parti du capital:<br /> <br /> <br /> <br /> - "ce n'est pas les ignares, gueux et béotiens qui vont continuer à l'emprunter" - <br /> <br /> <br /> <br /> Dit un savant et prix Nobel d'économie de l'époque, membre du conseil d'administration de la société.<br /> <br /> <br /> <br /> En quelques années, les nantis antan fidèles au train; commencent à faire usage de leurs économies pour voyager dans leur calèches (très modernes, sans point de cheveux, mais de puissantes et bruyantes machines, dotes d'un confort jamais atteint dans les autres pays du monde). <br /> <br /> <br /> <br /> Les bourgeois en question, décident de racheter, chacun une partie de la propriété du train. <br /> <br /> <br /> <br /> Les années passant, nombre de commerçants utilisateurs quotidiens du train, pour d'autres besoins que pour le tourisme et la contemplation; (pour aller d'une ville à l'autre dans leur travail de chaque jour) ont emboîté le pas aux riches, voyant les dividendes, "l'excellente rentabilité".<br /> <br /> <br /> <br /> Cela à été le coup de grâce à la fréquentation du train quotidien entre pyramides de Gizeh et le temple d'Artémis à Éphèse, à la fin de la période; aveuglés par l'ambition, même les gueux avaient devenus des notables actionnaires du somptueux train "Gizeh Éphèse".<br /> <br /> <br /> <br /> Alors 8 wagons devenaient de trop, des années plus tard ils ne restaient plus que deux. Même à quatre wagons le train "Gizeh Éphèse" n'avait plus que ¼ de sa capacité utilisée, puis de moins en moins, la première classe fut supprimée, malgré quoi la fréquentation ne faisait que diminuer.<br /> <br /> <br /> <br /> Aujourd'hui, "d'un si splendide train", il reste, quelque par dans un cimentier des trains, à peine des vestiges, les milliers personnes qui travaillaient pour son prestige, ont devenu moins que des gueux, les nantis eux ont flairait à l'avant le coup et le roi (les banques centrales) leur auraient même aidé financièrement en guise de dédommagement et vivent dans un pays lointain, dans des palais dignes des rois. <br /> <br /> <br /> <br /> Les anciens usagers de deuxième classe, ont perdu leurs économies, et doivent reprendre bientôt des calèches et des chariots avec des vrais cheveux pour ceux qu'encore le peuvent, les autres marchent à pieds… voilà le texte d'un ignare d'un illettré, c'est bien le cas, car je n'ai pas eu la chance de fréquenter l'école de Charlemagne.<br /> <br /> <br /> <br /> Je vous laisse le soin d'adopter une moralité…<br /> <br /> <br /> <br /> Mes excuses les plus sincères pour l'illisibilité du texte, car je ne sais pas écrire avec cette si belle langue de Voltaire, Molière et tant des grands hommes qui signifient la grandeur de la langue et la pensée françaises.
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