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Élucubrations
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1 juin 2014

LA CRISE

La Crise économique mondiale

 

Voyons, voilà des années que les classes populaires supportent la paupérisation.

 

Regard impartiale

 

Pour quoi ? Qui est à l’origine du problème ?

 

Qui doit s’occuper des crises ?

 

Je trouve curieux, que l’ensemble des leaders politiques, se précipitent pour ainsi dire, à mettre en place des politiques, de l’austérité, de la paupérisation, de la privatisation selon eux pour enrailler la crise.

 

Je trouve scandaleux, que ces mêmes personnalités, (les leaders politiques) continuent indétrônables, dans une hégémonie pour le moins absurde à s’ériger en véritables leaders, en représentants valides alors que le phénomène des crises persiste.

 

Sur le plan judiciaire

 

Il sera impossible d’appliquer la justice, la loi, en matière financière ou fiscale simplement parce qu’il y a des niveau de connivence monumentale entre ceux qui votent les lois et les cercles financiers à tel point que je constante une exubérance de facilités en faveur de la fraude fiscale pour les citoyens les plus riches. Pendant que les gens modestes, au regard du CGI aura du mal à trouver une quelconque manière de "optimiser " leur déclaration fiscale. La fraude fiscale bien que présente chez des gens modestes, des artisans, elle représente des milliards chez ceux les plus riches.

 

Sur le plan sociologique

 

Les crises à répétition, ne peuvent pas être jugulées du point de vue sociologique parce que les classes bourgeoises, (selon la définition de Jean Jaurès) ont évolué vertigineusement vers un système qui a fini par verrouiller, par sceller de manière incontestable toute possibilité de naître et se développer des idéologies capables de proposer une alternative au néolibéralisme.

 

Moralité

 

La paupérisation des classes les plus modestes, ne risque pas de se tarir, surtout dans des anciens pays dits développés.

 

L’hégémonie des bourgeois, ne risque pas de s’épuiser puisqu’il y a même des syndicats qui incluent dans leurs statuts l’interdiction de parler de politique aux adhérents.

 

L’hégémonie des nantis au pouvoir ne risque pas de disparaître parce qu’ici bas, au sein des classes populaires, ouvriers, chômeurs, il y a même ceux qu’oublient leur cohésion de classes, et votent soit à droite, encore pire pour l’extrême droite.

 

Loin d’être pessimiste, défaitiste, tant que la proposition de HERMANN SCHEER (docteur en sciences sociales et en économie) ne soit prise au sérieux par les classes populaires par les gens modestes, les sangsues de la finance auraient un radieux avenir.

 

Je suis un ouvrier, un illettré parmi le peuple gaulois, je n’est jamais eu la chance d’occuper les bancs de l’école mise en place par Charlemagne. Je suis syndiqué et fier de l’être, Je travail en postes 3 x 8, mais cela ne m’interdit pas de cogiter sur la base des conseils de René Descartes, et sont discours de la méthode, j'invite le lecteur à commenter le sujet, à penser plutôt aux alternatives, à chercher à s'associer dans le but d'étudier les alternatives indispensables en urgence à cette société de chaos!

Par gramophone

Joigny bourgogne le 1 juin 2014

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