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Élucubrations
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23 février 2009

Humanisme ou Malthusianisme

C'est quoi la gauche ? Je réponds pour une question ? C'est quoi la droite ? Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ Je vais traiter de manière superficielle Les bases des partis politiques (l'idéologie) La diversité des idéologies L'effet de l'ignorance dans la démocratie La métamorphose des gouvernements Le cycle de vie de l'industrie La mondialisation (délocalisation) Démagogie et prosélytisme Irresponsabilité et absence de prévoyance Naissance de l'industrie financière Préface J'ai envie de répondre à madame Monique CANTON-SPERBER, et son commentaire sur LCP Public Sénat. Dommage qu'elle ne viendra, jamais dans des forums et moins encore dans des rubriques de si bas niveau; puisqu'elle à fait l'école normale supérieure, où reçoit un doctorat en lettre et agrégée de philosophie en 1978, sans doute, madame connais mille fois mieux que moi Platon (à son actif plusieurs dialogues traduits du philosophe) 1. Un parti politique Un groupement de personnes parmi les habitants d'un Etat; qui dit parmi, dit une partie. Les idéologies doivent être classés en deux grandes lignes, je ne me considère pas spécialement dans un parti politique, mais dans une ligne, qui est celle de l'humanisme. Le lecteur doit comprendre que s'il y une ligne d'humanisme, il doit y avoir nécessairement au moins d'autres ligne. Mais alors, il devienne fondamentale la définition d'autres lignes ! Qui ne peut pas être traité dans ce message. Du fait que chaque humain est par sa constitution matérielle, semblable aux autres, il est pour moi membre d'un grand groupe, celle des humains. Cette idée m'a mène à rallier dès les débuts de mes lectures de philosophie et biologie (vers mes 13 ans) une idéologie définie. 2. D'autres idéologies La pensée humaine, est supporté avant tout par son histoire, puis par les sciences. Toute notion individuelle n'est que le reflex conscient ou inconscient fruit de sa connaissance. Par malheur, nombre d'individus de strates sociaux bas, N'ont pas les moyens, leurs permettant d'appréhender le monde, et du fait n'aurait pas un niveau de conscience sociale adéquat à leur statu sociale. Je vais les appeler des votants manipulables à souhait ou électeurs d'opérette ou encore les jetables. Avec des exceptions sans doute. Si une personne n'est pas française, elle à une autre nationalité ? Si une personne n'est pas humaniste, elle aussi admet une autre idéologie. Dans toute liberté, puisque la société occidentale est régit par la démocratie, déjà cité par Platon et ces contemporains. 3. La métamorphose du gouvernements A travers l'histoire, la terre à connu divers rapport entre l'homme et le pouvoir, ces rapports ou empires, nous avons embarqué dans un rapport au pouvoir très particulier; l'empire du capital. Inutile de dire que l'Etat nation a travers l'évolution des sociétés évolue d'une place de tout puissance à la place d'une marionnette. Dans la monarchie, le président pardon "le roi" aurait hérédité de Dieu sont pouvoir, et bien avant la monarchie, le mythe et la tradition donnent des allures aux leaders bien plus pittoresques. La science érode la place de la religion au près du pouvoir, jusqu'à sectionner le cordon. L'élite transfère dans un procès de mutation constant, (du à son accès non limite aux sciences en détriments des béotiens, gueux et quidams) son intérêt de la propriété des terres "signe extérieur de richesse" (avant cela se compté en nombre d'esclaves) vers des formes plus subtiles et moins encombrantes; les usines, la manufacture pendant un siècle tout au plus. Par génétique, les êtres et leurs créations ont un point commun, le processus de naissance, croissance et fin. La je dois comme dans tout les idées, m'accrocher à Darwin. 4. Le cycle industriel Cette forme de richesse (l'ère industrielle), connaît aussi sa fin, le patron, se rends compte très vite qu'il y a des manières plus simples et juridiquement moins compliqués (les usines, ça demande du travail) l'univers des finances, par un tour de magie, semble générer plus de dividendes. 5. Le transfert de l'industrie (delocalisation ou mondialisation) La politique de sauvetage des anciens "pays riches" des pan de leur économie, est un non sens. Des milliards pour les groupes financiers, pour l'industrie automobile. C'est ridicule. Et cela conforte mon idée du niveau de "marionnette" des anciennes "grandes nations riches" leur pouvoir se trouve à la puissance zéro. Le vraie pouvoir à migré (loin l'époque du roi tout puissant) les rois de nous jours, sont des individus à la tête des monopoles. Le rôle de ces groupes n'est pas de supporter la cohésion sociale ! ça devienne le travail des ONG. Même les Nations deviennent impuissantes devant le volume de misère. 6. Pour quoi les gouvernement on perdu la main ? Les relations de production, le lieu même ou se généré la valeur ajouté, a quitté les pays riches, et continuera de le faire. Puisque le pouvoir (autre que les gouvernements) sait que le coût de la production est bon marché ailleurs. L'effort de sauvegarder : les banques, l'industrie automobile, la péché, etc. Son des pratiques sans lendemain. Une usine automobile du genre Sandouville, dans les années 70 occupé 30 mille personnes, de nous jours à peine 2000 personnes, et demain ? D'autres formes de production, "non matérielles" (assurances, investissement, etc.) pourraient pas récupérer les millions de chômeurs, mise à la rue par le transfert programmé des formes de production vers les pays à bas coût. Car toute forme de production qu'elle qu'il soit obéi à des connaissances, à des techniques, que le système capitaliste et libre d'installer là où il obtiendra le plus de bénéfices. 7. le musée de l'industrie Nous avons fait un sommaire détour à travers l'évolution des relations de production; pour nous rendre compte que le système se trouve encombre, dans les pays riches d'un volume incommensurable de déches. Pour les anciennes usines la rouille prendra des siècles sans doute, à effacer les traces, ici et là, le paysage exhibe sous forme de musées à l'air libre les anciennes cheminées, pour les millions de travailleurs nous pouvons parier sur la rigoureuse loi du cycle de vie. Dans une vision grotesque arraché aux théories Malthusiennes, sans doute. Voilà mon reproche le plus véhément le plus virulent au système. Il se trouve que deux idéologies convergent ici. Celle de Darwin et celle de Malthus. Sans doute il y a une élite qui semble de manière subtile et sournoise accueillir à ces principes. 8. Et les gouvernements alors ? démagogie et prosélytisme Par des techniques de prosélytisme, les gouvernements, sans exception cherchent à creuser leur déficit budgétaire; dans une vision obtuse, qui reste pour tant néfaste vis-à-vis des règles puisque cela fosse une loi pour tant fondamental du système même qui est "la loi de l'offre et la demande" ou encore la loi de la concurrence libre et non faussé, tant décrié par le GATT puis par sa fille l'OMC. Les années 70 ne pouvaient que révéler, des gains exorbitants, nombre de fortunes s'aurons dégagés définitivement du niveau classique de la société. Le moindre intellectuelle, devait comprendre que tels volumes de production, ne dureraient long temps dans leur cite d'origine, car le coût de production pouvait être moindre avec quelques aménagements dans des pays à dévaluation de 15, 20 et 30%. Le taux d'échange étant un thermomètre significatif. D'ailleurs un sage homme et patron d'une fabrique de pneus à Clermont Ferrand, a eu le courage de le signaler. Un autre signe avant-coureur lui permet de sentir dans sa production; L'automatisation, l'innovation, manière de libérer l'homme des tâches pénibles, d'où d'ailleurs l'idée des 35 heures. 9. Irresponsabilité et absence de prévoyance Deux signaux inébranlables de la crise de l'emploie bien sur mais avant tout du volume important de source de richesse; devenu une habitude, la délocalisation avec la bénédiction des gouvernements, qui montrent déjà l'anéantissement de leur marge de manœuvre : le niveau de vie (faible salaire) dans les pays du tiers monde et l'automatisation de la production. Deux signaux qui ne font qu'illuminer le chemin du capital vers l'actuelle industrie financière, là où il n'est crée le moindre cents de valeur ajouté, mais qui est manipulé la totalité du volume du marché matérielle, avec des marges colossales au passage. Un économiste disait grosso mode "on ne peut pas satisfaire une classe sociale sans le préjudice d'une autre" et je dis qu'il est possible de manière légale (par la loi) trouver un juste milieu entre le bénéfice à outrance des finances et le fruit de la transformation des matières. 10. Naissance de l'industrie financière Voilà pour quoi je ne me considère pas de "gauche" dans une qualification péjorative et réductrice mais comme adhérant à une idéologie d'humanisme dans un cadre démocratique. Et opposition à toute idéologie quelle qu'elle soit du moment où elle assume le Malthusianisme, même de manière sournoise.
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