UN FEUILLETON SAUGRENU
Un feuilleton saugrenu
Joigny vendredi 8 février 2008
Par gramophone
Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Sans doute qu'une partie "noble" de la société doit se sentir à l'écart de l'image de la nation.
C'est pitoyable, ridicule et très mauvais pour l'image d'une nation de l'envergure de la France
La mésentente semble surgir entre une haute autorité de l’État et vraisemblablement une partie de la presse
Je dis bien une partie voir deux ou trois journalistes d'une rédaction.
Les autres sont encore des "impartiales" au service d'une information, qui prend des allures d'un spectacle carnavalesque.
La culture dans tout cela, au milieu des fonctionnaires des corps armés, des représentants de l'ordre et la justice, qui s'affichent en extrémistes, avec des propos inadmissibles pour un officiel.
Le cas d'un blésé par balle, encore par les armes qui en théorie doivent défendre la propriété et l'intégrité physique des citoyens.
Puis le cas d'un père qui aurait senti monter le sang alors que sont fiston aurait une petite gifle pour maque du respect
La justice dans tout ça elle est de quel côté ? La culture d'un peuple mis à mal par manque d'une éducation à la hauteur.
C'est si simple que cela, les élites simplifient l'éducation primaire et secondaire, en faisant abstraction d'une matière qui construit le citoyen, l'art d'apprendre à raisonner par soit même.
La philosophie, avec les bonnes bases, l'éducation civique depuis les premières années de l'école primaire.
Voilà ce qui manque aux gens de sept a quarante ans en France, une France où le commun des citoyens n'est pas en capacité de faire la différence entre les intérêts de la société et les intérêts d'une élite qui affuble la société des pratiques en détriment des piliers de dignité, fraternité, respect et justice.
Ces attributs peuvent se compter par milliers dans une tendance de consumérisme ridicule, où l'apparence compte plus que la pensée.