Caisse d'amortissement de la dette sociale CADES

Dans une rubrique habituelle d'un journal national, le mot CADES a été mentionné, cela donne lieu de ma part à un article, que j'ai envoyé, mais que je vais transcrire dans au moins un des blogs

En chiffres la CADES (Caisse d'amortissement de la dette sociale) un établissement public à caractère administratif EPA, au passage reste des postes crées sur d'autres postes, car il s'agit de gérer l'argent de la ACCOSS (Agence centrale des organismes de sécurité sociale) qui est à son tour encore des postes très cher payez pour la gestion d'un impôt, puis le ministère des finances, alors il ne pouvait pas le faire ? Sans créer des postes ?

Ah la bureaucratie, des tas de gens payez à faire quoi ? À la tête nous avons monsieur Patrice RACT MADOUX, Avec tout mon respect, pour le personnage, à juger par son curriculum vitae, diplômé en 1968 HEC, deux ans plus tard un MBA à Sanford, puis maitrise de droit à Paris II, ayant été professeur des finances, aurait gouté à la bourse, il aurait quitté pour tant le privée dans un domaine qui pour tant nous le savons paye trop bien.

Nulle part l'on parle de son engagement politique, et des leviers pouvant le propulser aux très hauts postes dans la fonction publique.

Quant à madame Sophie MAHIEUX, Contrôleur Budgétaire et Comptable ministériel CBCM qui me semble de loin suffisante avec le personnel du ministère des finances pour s'occuper de la gestion de ces sommes là.

Voyons le bilan pour 2006 (en millions d'euros) comparatif sur trois années à la rubrique TOTAL ACTIF 4 519,53 pour 2004 ; 3 078,17 pour 205 ; et 1 642,90 pour 2006, le passif pour les même années étant : 4 519,53, 3 078,17 et 1 642,90 respectivement.

Il faut admettre que le niveau de transactions est spécialisée puisque nous sommes là face a des produits du genre USD, TAM, FRF, LIBOR, CHF, parmi d'autres produits dérivés financiers. Quand ça parle de ISDA (pour International Swaps and Dérivatives Association) c'est déjà trop haut pour moi.

Je m'étonne pour tant que tant de monde ne se soit pas aperçu des grossières failles d'un système, je parle des subprime, dans l'édito de monsieur  RACT MADOUX, curieusement pas un mot. Mais des prévisions à l'horizon 2017, alors qu'en question d'économie cela me semble déjà assez flux pour ne pas dire léger pour un spécialiste dans un univers si volatil pour ne pas dire incertain.