Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Élucubrations
Élucubrations
Publicité
19 janvier 2008

en souvenir du temps

Pour construire des vers,

Pour imiter Boileau

Il faut travailler

Ou tout tombe à l'eau

Si quelque chose m'inspire

Cela fait du boulot

Arriver à traduire

Mon langage lourdaud

Il n'y a pas de mystère

C'est le cas de Hulot

Ne parlons pas de la terre

L'ignorance au galop

Me priera de me taire

Pour danser bungalow

Et pour tant c'est mes frères

Qui me ferment l'hublot

Voilà des belles fleurs,

Décoration et bibelots

Ce n'est pas des vers ni de la poésie

Même pas lumière que des âneries,

D'aliments aux commères parlons de ma folie,

Même pas de l'humeur, que des âneries

Parlons-nous des valeurs, ou de courber l'échine

Même pas de l'honneur, que des hâbleries

Pardonnez-nous ô seigneur nous achats en chine

Même pas de valeur, que des fournitures

Aurons-nous l'honneur d'affronter le future

Même sans besoin que le sang y coule

Préférons-nous le tort du triomphe immature

Vulgaire affront à la raison sans doute

A qui revienne la gloire de la lutte impure

Même pas en rivale, le consommateur file

A qui revienne le pouvoir, sans l'affront dur

le système cannibale, triomphale domine

Aurons nous parlait, au nom d'une mesure,

Même pas le boycott, sans la moindre structure

Le quidam se plaît, individualiste pure

Chargé d'égoïsme, voilà une vie qu'est dure

Pendants que la capitale éternelle symphonie

Construit note à note la chanson parfaite

Alors que le contrôle du code du travail

Change mot à mot, les syndicats dans la fête

Allons au combat, pour quoi sonner le deuil

Changeons mot à mot les lois du travail

En fin de compte tout cela m'écœure

Silence pas un mot, le quidam accueille

Douce mouton, mangeant au chèvrefeuille

Tant des lois que le Medef trifouille

En faisant des vers, te récupérer

T'avouer mon amour semble trop tard

Et pour tant dans mon cœur c'est nécessaire

Je suis malade de toi, pense mon docteur

T'est née de côté d'Asnières, pas trop loin

Où ton père été chauffeur, je me souviens

Te voir pour la première fois si belle

T'aimer en silence reste pour tant cruel

Tant d'année et distance et je te perds

En arrêtant de te voir j'ai eu du tort

A l'égard de la loi tout un seigneur

A l'égard de mon cœur, grand erreur

Il est tard de le dire, je t'aime encore

Tant d'années ont passé, nous sommes prémunis

Que d'aventures je le sais et que c'est si dur

Si d'aventure tu le veux, tiens prend mon cœur

Tant d'amours ont passé nous serons plus surs

C'est pesant admettre que l'on c'est trompé

Stress que déclencher des procédures

C'est pour tant possible si tu veux une rupture

Les passants coutumiers diront une sinécure

Une veste de ta part enterrera mon cœur

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité