Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Élucubrations
Élucubrations
Publicité
6 mai 2007

Formes de production et de spéculation

Petite observation des coûts et les manières de capitalisation.

Joigny dimanche 6 mai 2007

La rentabilité et la qualité.

L'expérience est un outil qui permets d'accroitre la qualité du travail; dans cette optique, une personne sur un poste quelque soit, produit nécessairement plus chaque jours qui passe, du fait de la maîtrise qu'acquière la personne avec le temps "développement des automatismes".  D'un point de vue pratique l'accroissement de la production accélère la rentabilité, (et l'usure) avec une réduction de la qualité. D'un point de vue technique, il est possible d'augmenter la quantité et la qualité avec l'augmentation des équipes ou du personnel du contrôle. L'amortissement se faisant sur le volume produit.

Production de la richesse par la transformation ou la spéculation

La seul manière stable de capitaliser, reste une transformation matérielle, indissociable de l'intervention humaine : soit par la transformation des produits soit par leur transport ou leur commercialisation. Par la suite d'autres formes commerciales strictement bases sur des opérations comptables et de crédit, existent dans un marché en développement croissant; marché où la spéculation joue un rôle de premier plan.  Le commerce financier comment toute autre forme de production de par l'exercice et voué au développement; au point de devenir une forme de production de richesses au même titre qu'une ancienne usine.  Cette nouvelle industrie financière, fonctionne sur la base des prévisions quelque fois hasardeuses, sur des domaines toute au plus incertains comment c'est le cas de la météorologie, (des grands groupes multinationaux font le pari sur la production de céréales en quantités énormes, sur la production de biens donc les matières premières à leur tours sont soumises à d'autres lois du hasard et la spéculation qui les écartent d'une loi logique du genre "offre et demande".

Le coût des produits

D'une part il y le risque naturel, d'autre l'alourdissement des coûts cause pour l'élargissement de la chaine intermédiaire, avec le but ultime de faire des bénéfices. Cette partie de gains sur le produit contribue largement à l'enchérissement du produit finale.  C'est alors que la différence entre le prix à la consommation et le prix de production se trouvent proportionnellement éloigné au nombre d'intermédiaires.

Appel à la science de la statistique pour vérification

Particularité criante des prix

Si nous prenons ces deux indices de prix "consommation" et "production" nous pouvons constater que le prix augmente, quelque soit le produit (agricole, industriel) avec une particularité qui est du à la seul loi de l'offre et la demande, le prix à la consommation reste quelque soit le facteur plus stable que le prix de production. 

Dans le domaine des finances, avec l'automatisation et l'annulation des distances par les technologies de pointe, les risques liées à la qualité, changent, voir se réduisent. C'est ainsi que les moyens de production tradition aux, sont délaisses pour adopter des techniques de capitalisation en apparence complètement à l'écart des moyens de production.  Par simple curiosité j'invite le lecteur à comparer les prix du secteur porcin entre 1995 et 2004, vous allez surement trouver un écart tout au plus de vingt points entre 1995 et 2004, avec une courbe régulière. Tandis que le prix à la production, en 1999 par exemple sauré réduit d'au moins vingt points sur celui de 1995, pour diverses raisons, entre autres parce que la technification (génétique, hygiène, alimentaire)augmente la rentabilité, quelque soit le produit analysé, l'amplitude de variation du prix de production entre deux années doit varier du double voir le triple du prix de consommation.  La raison fondamental est le marché financière et quelque fois des facteurs biologiques, épidémies, maladies, mais c'est rare.

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité