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Élucubrations
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5 mai 2007

Quand la beauté des mots travesti la vérité

Quand la beauté des mot travesti la vérité

Les nouvelles théories de sciences économiques

par Wilfred Pareto

Journal de l'économie politique volume 5, 189

Plusieurs critiques d'un travail récemment édité m'ai montré sur certains points qu'ils peuvent être considérées sur des nouvelles théories économiques sans être compris.

Je propose une brève exposition de ces théories. Le présent étude, purement objective. Il n'a pas l'intention de préciser le rôle joué par les divers économistes dans la formulation des nouvelles théories, ni mes tentatives de séparer le travail faite par mes prédécesseurs de ma modeste contribution.

Si je parle en mon nom, c'est pour éviter de placer la responsabilité des erreurs sur d'autres auteurs que j'ai pu avoir présentées dans leurs théories.

En fait, l'art a toujours précédé la science. Quand au cours de l'évolution l'art et la science humains de la connaissance ont dérivé à part, les critiques n'avaient jamais voulu affirmer que la science était productive sans résultats utiles. Des critiques de cette sorte sont en grande partie fondées sur le fait qu'une science n'a pas immédiatement une utilité comme art apparentiez.

Il doit également être dit que l'art ne peu pas se confiner à sa fonction de enseignement ; il doit également démontrer sa puissance persuasive. En conséquence l'art est obligé de se servir de certains dispositifs rhétoriques avec lesquels la science n'a rien à voir. Car le raisonnement le plus persuasif n'est pas toujours le plus sain, il se trouve que la science économique diffère souvent de l'art économique dans les moyens de l'expression utilisés.

La Science considère des moyens d'expression seulement du point de vue de leur puissance de révéler la vérité, tandis que l'art doit principalement considérer leur efficacité en tant que moyens de la persuasion. De cela s'en suit que la science économique n'hésitera pas à employer des mathématiques, la philologie, la physiologie, etc. ; considérant que l'art peut utiliser ces sciences mais avec une ampleur très limitée pour la crainte de l'incompréhension à la majorité de ceux qu'elle s'engage à persuader.

Il n'est pas mon intention en ce moment de considérer la question générale de l'utilité des sciences pures. Au plus il peut être dit à titre d'illustration que toute personne qui croit dans un tutorial de la science de l'astronomie agira prudemment en ne lisant pas d'un livre juste le titre dont les expositions traitant divers sujets. D'une part, s'il a plaisir à lire des travaux sur cette science il serait idiot qu'il cesse à chaque page d'exprimer le souhait que l'auteur avait écrit, un travail plus valable, par exemple, un almanach commercial. Il doit également être complètement compris pour qu'une question puisse légitimement être entièrement ignorée ou complètement mise de côté, mais si on ne le considère pas du tout, elle doit être traitée aussi entièrement que les ressources de la science le permettent.

Il ne peut y avoir aucun doute qui le sens exact et vrai de l'expression célèbre de Tacitus : Pro universis du cultorum ab de numero d'Agri dans l'occupantur de vices, partiuntur inter de dignationem de secundum de Se de mox de quos…. n'a rien à faire avec le bien-être actuel de l'humanité. Un homme d'État ayant à disposition le passage d'une loi affectant la propriété débarquée dans son pays pourrait donc être condamné étaient lui disposé à perdre son temps dans l'essai de découvrir la signification de cette expression.

Toute personne qui pourrait avoir le temps et la curiosité de savoir exactement ce qui avait été le système de la propriété parmi les besoins de nécessité des Allemands a lu les principaux auteurs qui ont étudié cette expression célèbre de Tacitus. Ensuite après avoir appris par le passé la gardent-ils, cependant, il serait très ennuyant d'être interrompu dans l'étude par la remarque d'un intrus à cet effet :

« Vous perdez votre temps. Vous employez trop de latin ; vous faites une erreur en citant le grec tellement souvent, parce que beaucoup ne peuvent pas lire cette langue. Les Allemands antiques et leur système de terre ne sont pas alignés avec moi. »

À cette remarque je peux répondre que si vous n'êtes pas intéressé par la ligne de travail vous feriez mieux de ne pas vous y mêler mais laisser d'autres procéder sans interruption parce qu'ils sont intéressés par le sujet et prendront la peine de l'étudier de manière approfondie pour les mener à la vérité.

Acquérir la richesse peut être plus plaisante que savoir la façon comme elle est distribué. Pour ma part, je suis de l'opinion qu'un certain livre contribuerait plus que tout autre chose à établir le libre échange dans le monde dans son ensemble, je n'hésiterait pas un instant à me donner en cœur et âme à l'étude de ce travail, mettant de côté pendant toute l'étude de la science pure.

Celui disposant de la puissance nécessaire pour découvrir les moyens d'alléger les douleurs des pauvres donc j'aurais fait un contrat bien plus grand que celui qui se contente seulement avec savoir les nombres exacts de pauvres et riches dans la société. Cependant, si n'importe qui souhaitait poursuivre une telle ligne d'étude, il devrait être laissé libre d'employer des moyens peuvent lui permettre de découvrir la loi selon laquelle les revenus changent.

En parlant d'une formule mathématique qui donne une expression approximative de cette loi, professeur Charles Gide dit que « le dernier est doté sans la puissance, d'intimider ou de décourager n'importe qui de ceux qui aspirent à une plus grande égalité des conditions sociales ; » qui est équivalent à dire que les études astronomiques n'auront pas la puissance « des » amoureux de intimidation ou de découragement dans le choix de tenir leurs propres premiers rôles. L'investigateur qui est à la recherche de la loi de la distribution de la richesse ne vise pas à encourager ou dissuader n'importe qui ; il est simplement attentif pour découvrir la vérité. Ceci n'implique pas que quelques questions ne sont pas de plus grande importance d'une vue strictement scientifique que d'autres. Ainsi la mécanique nous permet les moyens d'étudier les mouvements des corps célestes qui s'attirent selon une loi donnée, mais il est évident que dans cette étude particulière une attention portera sur les mouvements qui ont lieu pour autant que les corps sont sujets à l'attraction en vertu de cette loi et qu'en aucune moment ne sera perdue dans l'étude approfondie d'autres lois qui n'ont rien à faire avec la matière à disposition.

Nous mettrons donc de côté, une fois pour toutes, des discussions concernant la plus importante ou moins d'utilité des sciences ou sa puissance de persuader n'importe qui pour choisir entre les solutions de rechange, et dirigeons seulement notre attention aux lois régissant certains phénomènes. Un lecteur qui peut ne pas avoir aucun intérêt en suivant une discussion sur cette ligne peut aussi bien arrêter de suite sa lecture.

Fin de citations.

Je me permets d'ajouter, modestement que la vérité est en soit unique et indivisible, sauf que parfois des discours pléthoriques de rhétorique, de qualité irréprochable, ont le mérité au delà du pouvoir de convaincre, le plus grave encore des mérites; celui de travestir la vérité.

En plus court "c'est pas celui qui parle le mieux qui dit nécessairement la vérité"

sincères salutations de Gramophone

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Commentaires
M
Cette citation (je ne sais plus qui en était l'auteur) me semble adaptée à ce billet : "On peut tout prouver si les mots dont on se sert ne sont pas clairement définis".<br /> Amicalement,<br /> Mary
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